Âges Concomitants et le Sang du Saint Roc

Faudrait porter son poids comme un ciel seul dans la voie des ténèbres. Être et savoir intimer l'onde perforante! Incarner la densité de l'Ange déchu, et le fracas du bannissement intolérable.

Sans larmes épuiser le sort de la prédestination qui t'impose d'office le monde mediocre comme règle absolue à suivre! de la part de ces ignares qui se font un plaisir de lecher les bottes de ceux ou pire encore celles qui sont au pouvoir seulement par ennui et manque de crin.

Quatre Âges dans un cercle décrivent l'inexprimable désastre de la méprise qui hantent nos contemporains déracinés: les principes incontournables de l'édifice organique de tous les règnes se composent de 3 centres. Chacun dirige son domaine et ensemble ce TRIANGLE trône sous la bienveillance causale de mon unique respire oculaire!

L'Âge du Fer est Eternel, du même l'Âge du Bronze!

L'Âge de l'Argent surplombe l'immense grand vide où il n'y a pas de repère; l'Âge d'Or est Tathāgatagarbha!

Le sang de Saint Roch s'égoutte dans un Matras que j'ai confectionné moi-même, au dedans y'a la sève de mon âme polissonne!

Chaque Âge serait indépendant et mutuellement exclusif, c'est le royaume des fantômes qui en séparent les aires distinctes! Rien ne se condense et rien ne s'en distille,...il n'y aucune commune mesure et pas la moindre éventuelle probabilité de faire entendre ou voir aux uns comme aux autres La Véritable Réalité de qui habite au sein de l'Empyrée, selon l'Âge de sa prédilection et sa nature véritable!

Le Songe Séculaire, le Monde et l'Universelle Hallucination de Dieu l'Eternel

Il perpétue ad infinitum la disgrâce de ses échecs et rejette avec dédain, et parfois il y a quelque réminiscence nostalgique, les carcasses de ses songes avortés dans la grande déchèterie de ses mauvais souvenirs. La dedans Il pisse et défèque comme un mammifère. Ensuite Il rigole tel un enfant de deux ans avec de la merde plein les mains.

Parfois Il décide de ruminer comme un hypocrite qui se met à la dérobade, la peau étalée de ses victimes imaginaires, tannée à force de rabâcher en raclant le fond. Il énumère ses regrets avec profusion, néanmoins cela le fatigue et donc Il détruit encore une fois un Monde. Se basant malheureusement sur quelque événement déjà oublié. Comme un retorts Il calcine, triture et imbibe. La rancoeur le pourchasse ses heures de repos quand Il ne dort pas!

Il est Tout-puissant et rêve d'être le Créateur. C'est avec les bris et les tessons biscuités qu'Il entame encore la fabrique des pots, des vaisseaux de toutes sortes. Sa salive sert d'enduit avec le tartre de ses dents. 

Dans les égouts où tout avait été mis en puruléscence Il suppute encore des vases de prédilection!  Sa colère compresse la glaise, l'argile sèche, Il le bat sur la planche avec de l'eau. Il pilonne la mince poussière effarouche qui recouvrait autrefois les os de tes aïeux. Il laisse la pâte de terre humide pourrir au grand air, dans les pluies au bord des glacis. 

Il aime voir la sueur et le sang qui se répand dans les chairs de l'argile. Repaître de la substance du fer la gueule des ancêtres d'Edom avide de revenir donner une Progéniture!

A force d'âge, du cycle en cycle, je parcours tous les ronds imposés par le tout puissant tyrant à chaque étape. Le bon comme le mauvais, les cauchemars.  Je râle. Je peste. Je déteste. Comme Ulysse.

La vie du Siècle et de ses écoles, déversent perpétuellement le récit des erreurs d'un aveugle qui boude.  Puis recommence les doigts dans la boue! 

Je suis dans la vie des siècles. 

Je contemple les balafres que m'inflige aux corps que ce Dieu qui m'octroie tant du bonheur! 

Sans Lui, comment me promener la Nuit.

Mais c'est Lui qui dort dans mon rêve et moi qui veille pour Lui.

Born Alive and Awake or Just Born Dead

He was born awake. There wasn't really any need to bleed the mind...

...nor to cut the corde! He wasn't born, dead. His invisible eyes were already in a secret place. In that Divine Bosom where robot-men kill God!

Others, they're just born dead from the start. There's nothing, can save them. Nothing, that can be had in their numerical binary place, in exchange. No soul or consciousness! No spirit that can thrive on spiritual nothingness!  

No soul. No Consciousness.

No Spirit. 

They're only ghosts that aren't real filling in the cracks with a  kosmic delirium which always sways beneath the devil's ass.

Wondrous delirium filled with pretentious havoc. Always just killing God.

But Jesus wasn't born in Judea! Was He? 

The so-called Holy Mount was occupied then, as it is now. Jerusalem is just a hole of Hell for all the demons of the World on Earth! 

A haven for those who kill God. A blessing for those who love blood and bladders filled with urine.

Between 2 Suns

Between the beginning and the end the 7 vowels dance around the Figure of the World's Death, just seven deadly sins combining, eternally. Fulfilling perfectly all human wishes.

Each watching the other suspicious and wary, fighting for hegemony, wandering on the circles turning. Chiming the heart beat to the very end of it all. Mesmerized. Dumbfounded perpetually. Just so many demi-spheres breaking with the tide on the beach. 

The way out stares in at you.

Between 2 Suns and the Zodiacal earth spinning in the middle of the great big dark emptiness. A sign for each place, like Lucifer rising and setting at the very same time.

The heavens spinning over head, like a twisting wet rag above a desolate land, sending from beneath the big firmament, more souls to the seeds in the clay. Waiting there.

Aren't you happy to watch it fall? That terrible angel expending his soul into the dirt! A fiery lingam linking 2 empty glasses, for you only. Watching Heaven and Earth meet.  

2 snakes on a rod in your hollow spine, just before your eyes inside of the heart's cavern!

Does it hurt to be in the wet dust, washed with blood and sand, greased with sulfur. 

Azazel and Issa, just Templars burning at the stake, in front of the poor suffering crowd of mankind, the people, so happy to see more innocence destroyed again and again just for their stupendously stupid mammal happiness.  And their own grandchildren! 

Not yours!!!!!!!!!!!!!!!

Entre Deux Soleils et Un Cycle

la porte d'acces 

Entre 2 soleils et Un Seul Cycle. Combien d'enveloppes entourent taillées dans la roche, la porte de Sortie. 

Si dans l'aether tout autour, la porte ne s'ouvre pas, il faudrait la défoncer. Rompre avec toi-même l'ancienne pacte qui te lient aux pierres, mettre au désarrois la consensuelle stupidité des collègues.  

Ca suffit maintenant, les jeux enfantins avec tant de mots à branler la queue de l'initiation chez les épaves spirituelles de l'homme. Evidement qu'ils pavanent comme des paons gris. Sales et recouverts de poussière, desséchés comme un rat momifié. Tous pleins de prétention céleste, du savoir comme un puits de science à sec!   

Un seul retour suffit, et enfin, faudrait flatter la vanité de ceux qui restent encore, entrainés par le courant qui attirent dans ses mèches d'algorithmes des intentions mal conçues et sans qu'il y ait eu de la part de l'intellect, la moindre rédaction, le moindre effort de dépecer le corps encore vivant de sa personne! 

Les convoitises programmées qui ont saboté le regard véritable ainsi que les fantômes qui insistent pour assurer enfin encore la perpétuité fascinante de l'ombre plasmide. Qui percute la nature frêle et inéluctable si peu reconnue chez l'animal social et qui sera construit à manque de souhait.

Une étoile règne dans l'aether. Cela infuse les yeux avec un feu torride. 

Il y a de quoi amuser encore les foules de l'humaine carapace, admirer du coin de l'oeil du regard étroit, façonné par le langage d'école. Magnétiser les lieux saints où plus rien n'adhère à l'immanent.

Des pantins pleins de vanité: un échec sidéral.

Tout a été un abrupt mal entendu de consciences arrogantes qui se heurtent!  Tout, une énorme collusion de mots qui dilapident l'âme noble qui est à jamais étrange.

C'est elle, le véritable extraterrestre!

Aryansufi

I lost my tyrannical blood sucking satanic lord half way up the ladder!

And, there,
half way down the staircase, 
all the demons were in awe.

I couldn't help it, it just happened.
There was nothin' to do, 

just didn't feel like fillin' up Plutarch's statues anymore.

Went to church, and all the hobgoblins frightened
in a fret
disappeared.

All that was left, was some tourist's majestical 
and bombastic item
for some modern middle class Sunday's boredom
afternoon! 

That's the day, I became a Mu'min  مؤمن 
an Aryansufi

Bafomet 2 and the Brass Head of Saint Johnny

The brass head filled with a complex infinity. 

Conceived while in the outrage of inconsistant dark lovers.

Was made of copper and tin. Therein iron is at its best in order to give us palatable gold. Inside was what we call in today's jargon, led. Our elixir has no monatomic origins.

A colloïdal substance something like a kind of congealed plasma, full of yeast salt and the VOID. In it is an arboreal vitality. Our viatica and vitriolic grail. It sucks from the inside of the Springtime aerial matter a certain dense and fiery igneous power. It gives a weight that can only come from the invisible and intangible spirit, hidden in the recesses of the air we think we breathe!

From this into our cadaver in the heat of a furnace, contained in a triple walled recipient, Saint Johnny's head is inserted into an obscure unfathomable deleterious broken powder.   

But without the mineral celestial water, which issues from within the earth's bowels, cannot be known seen nor touched the black mycoplasma that can be found in our private latrines. Vessel filled with dragon sulfur and red arsenic, from which can be distilled the Virgin's very white immaculate and preternatural pristine milk.

BAPHOMETH

Per ב ipsum, et cum פ ipso, et in מ ipso,

est tibi ת

Deo Patri omnipotenti,

in unitate Spiritus Sancti,

omnis honor et gloria

per omnia sæcula sæculorum.

Amen.

בפמת

Per Ipsum et Cum Ipso et In Ipso est Tibi

بفومت

Certes, pour d’aucuns, cela relève de l’hallucination d’autiste inguérissable, voire de la sottise inadmissible! Ou bien inculte et non savante d’après des règles bien établies depuis fort bien longtemps dans cette arène enterrée dans notre pierre ardente et de fougue dans un perpétuel monde de folie, de faux-semblant et d’évanouissement charnelle d’âme.

Mais alors, que m’importe l’avis d’autrui qui ne fait que de se poser des questions à pertes de temps sans s’attaquer contre lui-même, son « nefs », et dans l’absence d’une recherche minutieuse et mesquine, des bas fonds de l’abime de  son lui-même!

C’est toujours la faute de quelqu’un ou de quelque chose, ou de sa femme ou de son mec et des autres ou des juifs ou des nazis ou des musulmans ou de quelqu’un ou de Dieu même ou de son incapacité d’agir tout pour notre propre gloire et vanité! Res Publica! Ave Turpitudini!

En haut comme en bas, le tout se distille dans notre alambic, fait des mains de notre Mercure. Premier fils né de l’Intellect de notre Père Eternel Qui es aux Cieux, Indemne et Hautain, Plein de Compassion pour les siens.

Ô IdrisHénochHermès, Homme Vert, Al Khidr et caché! C’est par toi, et avec toi et en toi que je donne Gloire à Dieu, Père Tout Puissant un avec L’Esprit Très Saint dans l’Eternité qui préside à tous les aeons.

Essence inexpugnable.