« Qui es-tu qui est là ? Qui rode dans l’obscurité. Dans l’espace juste tant soit peu là derrière le simulacre en chair des devantures ?
Diffus, qui se précise, dans le brouillard qui se dessine. Qui prends une forme circulaire.
Fuyant. Et, à la dérobade. Spectre ?
Ou peut-être est-ce que cela soit le soi essentiel de moi-même dehors, projeté au milieu du vide miroir des préjugés accolé au pilastres du sous sol de la fondation des Mondes ?
Aberration ?
Projection d’un ectoplasme, bavure bigarrée ou astrale coagulante, sphère dans l’attente de concevoir dans le corps d’autre chose, d’entre les vagues murailles invisibles aux contours rebondis. Ici dans les intestins grêles et du colon du dessous Terre.
Luminescent.
Qui s’engendre au sein de déjections d’une atmosphère dense et épaisse, à partir des embrouilles fantasques, et sombres, qui évoquent l’absence du crédible ?
Fuyant les ténèbres encombrantes du Monde. Où la frauduleuse perception de l’âme défigurée, adulent à genoux, prostré, le futile ou languissant visage torturé de l’outre-tombe des peuples bêtes, aveugles bien sûr, déçus désabusés par le jeu de l’ombrage et de la Dance Macabre des Seigneurs inégalables qui mènent la partie ?
Car l’irréelle qualité de l’Entéléchie Guide, par nécessité et du compatir, soupire enfin. Heureux, de se fuir dans les entrailles de la gironde d’Hekatéon !”
L’Homme n’évolue pas. Il est tel qu’il a toujours été. Mais il devient avec volonté, tout autre que ce qu’il désire être. Cependant de ce qu’il pensait être dans le non-être de ce qu’il ne désirât pas, si tant est qu’il pût par une heureuse inadvertance se le permettre, la Masse lumineuse de son essence rayonnera dans les ténèbres à l’extérieur dans cette vacuité, à condition qu’il lui ait plu de se laisser de la place pour l’abime salutaire de sa propre divinité .
ᛆᚼᛁᛆ ᚭᛋᚱᛆᚼᛁᛆ
…que dieu est tout, qu’il peut tout, qu’il a tout rempli de lui-même, et que seul il est digne d’un respect insigne et de l’honneur attaché à la béatitude, tandis que l’espèce humaine est laide, ne compte pour rien et, comparée à la nature divine, est une marionnette.
-réponse à Porphyre, Jamblique
L’Homme n’évolue pas. Mais il semble devenir tout autre que ce qu’il était : & au fur & à mesure des cycles indéterminés à travers multitudes d’Années imprévisibles et immenses, disparaît dans l’absence d’avoir élaborer enfin l’ens.
Comme un algorithme prévu d’après l’emplacement des touches du clavier, le fameux anthro-pantin perd en turpitudes le droit au mérite de rester aux enfers. Qu’il insiste ? Cela restera sans conséquence.
« It’s the pristine nature of a man which is his only true worth. Nothing. Nothing else is or can be or should be more important than the Man who he really is, up above. The other one, who is underneath, was made to die & disappear. A mere shadow thing of some sort. The Eternal Man cannot be made into a thing.
All things disappear sooner or later.”
Ich bin der Ich bin.