Noble Immortel

mein Ehre heist Treue

lundi 7 juillet 2025

Au Creux avec un seul Poids

….dans la cadence des rythmes, le Pilier tourne au poids;

Alors le Soleil darde sa puissance en direct comme un faucon au plafond sur le globe de mes interêts!


Il gît en poussière. Sous une écume noirâtre qui abscons aspire l’AZOTH.  « L’Esprit reviendra à l’Homme qui est en  bière! »  Délaissé par le bruit de dehors.


Au creux lors de pesé, la main de Dieu hisse la Balance Miracle. 


Veille à ce que le corps se déshydrate, puis de nouveau imbibez! Calcinez. Puis de nouveau rend solvable!


Caché dans le grenier il y a un vase pellucide. Citrin qui verdoie.  


Les os apparaissent, au milieu des particules mondées. Pilez, pilez. Envoyez comme une toupie, l’Hékateon. 


ÔCRUXAVES

PESUNICA.


Là comme dans l’inquiétude sereine, résident les cendres délitescentes! Le moment des advenus. Le Salut du Demain.


Le lichen & la mousse y germe à la surface. Aimantent de vers Ciel, la joie de l’Élite.





Publié par Noble Immortel à 12:43:00 PM
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mercredi 25 juin 2025

the Barren Idea of You again

Against shame & unfair odds, I fought you while all the while you despised me, belligerent. I shuddered, shivering, would or did you care for us ? yet I knew you hated us outright, with all the tidy inattention that smelled of you, the clean & quite tidy corners Of a sacred space. With incense and lit wicks, trembling. And I fell, like a star smashing on the pavement ! …wishing oh dear Lord, that Eternity be placed, inside some ephemeral vessel! « My dear darling, up and dancing awkwardly in a very vain story, where all is fake & fakery from one level to the next witnessing endlessly the spectacle underneath God's awful scrutiny. It has no mystic use for you or me, nor does it ever consult our sweet bigotry. It vibrates longitudinally in complete and resonant discompassion across the temporal fibres wrinkling, the dead surface that insects thrive on. There is nothing bold & wonderful! Nothing worth taking to the grave to ponder till doom's day.» Pleading with all this in unkempt mind, we fight unjust battles for romantic reasons, without any favor from gods or demons or men or ghosts or those fickle titans hiding in the air we breathe, covered in hair & fur. We fight rebellious bodies, our souls twitching in the wide & silly shooting range of sickly horreurs, ... embedded in the vernacular from the start of younger years defaced with time, the pure & unnatural innocence obliterated. But now I know how forlorn it was arduously desiring to reduce you and your intangible pith into some soothing stale-mate phrase. Placing you in a tight and holesome digestable frame: to make a gruesome image of you in accordance with my disfigured light! To make of you, a static sterile thing ! An Idolatrous revery. Into a barren idea of you and your numinous secret soil. « Love is an ungrateful & abominous joy which can be unearthed from beyond the Aether. An inspired lovely brave and sometime solemn quintessential liqueur, inebriating the wakeful in the heart; longing to quit at last that idle twittle sound of murderous arrogant spleen. »
Publié par Noble Immortel à 8:35:00 PM
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vendredi 20 juin 2025

dent pour dent & le prix du sang des innocents chez Talion au pays du Levant



 

 https://x.com/IranNewsX/status/1935796419870572975


Publié par Noble Immortel à 10:31:00 AM
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vendredi 13 juin 2025

Elated like a Famished Lion

Elated underneath the tide. The sands have buried him. Again & again with misdemeanors filling the corridors of past lives on the salty brink.

Watchful like a hungry lion waiting for his prey. Awaiting that especial instant of satisfied disfamishment!
How happy is the man, invisible to the mob. Intangible. & PERMANENT in the Halls of Lucid Being.
Happy as be. 

Like a grasshopper in a cornfield! Or
a Gypsy dancing in an empty lot:

Heel Toe Toe, Toe Heel Toe! Handalé hijo mio!

I see Dante & those like him, lamenting their conceited literary paginations.
He and the others like a door knob, stuck in the mud of intellectual devices!
Virgil in a quagmire of poetical deceit, chained unto the very Catholic Inferno
  of another man's selfish political fantasy. 

Ficino 
  with Ezra in my abuela's backyard, meditating on what lie they can tell next!
To that very self with no escape, looking for pandering in a an iron cage.

Houei-Neng chanting in the fog. Him riding a Suzuki in L.A. smog.
His Bouddha Nature clinging to his smiley face in the Chili Pepper Wind.

  "...to La Crescenta with Saint Francis, on Wilshire Boulevard, oh! I mean to Disneyland with Phillip Dick to Anaheim."

But wait, just a minute, the Bodhi tree's not at JPL.
Nor neither at Eiffel Tower with Grandma Bigelow!

The sands have buried it, beneath the sand!

...from Van Nuys to Long Beach, stinking of oily things
and leaky gas pipes. Brother Mark at Saint Francis High School still a faggot, whoops!

Till then

We're waiting for the end of Kalpa & the next Stupa 
, and the long awaited tulku possession in the next innocent baby birth!

No-Mind on the horizon, no mirror to collect the dust.







Publié par Noble Immortel à 11:59:00 AM
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dimanche 27 avril 2025

CAÏN


Ne lisez pas ce livre, vous ne lui plairez pas. Il doit être publié mais n'a pas vocation à être lu. Pas par vous. Cet avertissement n'est ni une insulte ni une marque de mépris envers votre personne. Il désire simplement vous éviter de perdre une poignée d'heures sur le peu de temps qu'il vous reste à vivre. Chaque minute est un pas de plus vers l'au-delà ou le néant. Parfois, entre de mauvaises mains, les heures peuvent compter double...

https://www.amazon.fr/Ca%C3%AFn-Emmanuel-Bram/dp/2322536954/



Publié par Noble Immortel à 4:24:00 PM
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mardi 25 mars 2025

Hahahaa

https://www.bitchute.com/video/kOeSwsWPDzFD/?list=notifications&randomize=false


Publié par Noble Immortel à 4:14:00 PM
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jeudi 23 janvier 2025

First Nature

 I have come up from underneath the Earth. In a throw of birth pains!

Agonizing. Without injury to my essential identity. Immortal from the start, but unclean because of melancholia. 

Still, on the window pain I stand invisible like an intruder in the Mind of those yet unborn. Covered with the dust of shelf life; eager in haste to fly to high heaven with all the weight of conceit!

But the bath of angels cleanse me. 

"Oh how! I wait till dawn. Refurbished. Sublime. Purified on the back burner of the old cooker."

Through trails & trails of unending endlessness I turn to the right then left I go. Heeding to no obstacle. Uprooting all hurdles. Subsume to no lustral sporadic incoherence. Pristine like the green of moss. 

Baptized in empyrean fire. 

Homeward to my God.


Thru a Royal Art I was crafted. From the start all was in me. 

Publié par Noble Immortel à 12:00:00 PM
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mardi 19 novembre 2024

Internel Esprit Malik al Ma'ut

L'éternelle internelle contemplation.

De mettre à mal l'odieux ennemie incriminant le demain d'hier. Au sein de toi-même. D'usurper le droit de regard sur le royaume des ombres, devant le Gardien du Seuil.

Sur le pas de la Porte, d'éclater de rire: hautain. Condescendant face à tout ce qui est vicieux. D'abattre les alliés lui appartenant!

Hélas, quelle joie, que de voir ses adversaires vaciller. Briser par la venue de l'air vengeur! Mais triste de voir ceux qui ont été, martyrs. 

Mépriser le caduque. Le frêle hypocrite mortel. 

Je vous salue, Ange de la Mort.


Publié par Noble Immortel à 11:50:00 AM
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lundi 12 août 2024

Der Ubermensch

L’oeil de l’Aether siège dans l’espace entre deux battements du coeur; il n’y a pas du temps ni la mesure du temps: le temporel se vide de lui-même au milieu. Ni le Temps. Aucun temps ne mesure le rien de la vacance du Temps. Ni cercle excentrique. Ni clos tenu. L’expression consciente vaque. Navigue l’environ immeasurable. Autour du Vide illimité. Encerclé par le néant. Enfoui le long des corridors, dans les galeries éthérées de la Roue du Temps, chaque rayon s’élabore en condensé aux confins d’une pensée architecturale. L’intellect concrétise. Convoite puis éclate en bris, épars! Comme du verre incolore, au sein du rien, aux nues évanescentes, s’estompe! Absent. La forme prodigue, s’abime contre le pavé étiré. En un clin d’oeil le torrent sustente, brusques des bourrasques altèrent sous l’astre le seuil de l’origine. IAO. IAO ! Le Corps du Retour, Le refuge élevé sur un plan hautain, se loge dans l’Aether, le chemin du Retour est vers l’Ether. Sans doute c’est là que comme la Dame des Torrents, moi aussi je planterai mon verger, où des essences de tout acabit verront le jour d’un autre Soleil, fils de l’Ancien. Celui, lequel émane perpétuellement sans aucune relâche en faisceau doré de mon propre sein, pour celle que je ne verrai jamais. Car c’est Elle qui règne là bas, depuis le mire de mon regard au sein de ma conscience intangible, c’est une sève d’arbre inépuisable, incorruptible. Implacable. Trop forte en poids de poussier d’or moléculaire pour ces vaisseaux d’argile façonnés sur la girelle de L’Ourse qui parade au Pole! Mais se déplacer cependant, vers le plus haut, plus loin après l’étroite voie glacée du Pont du Bifrost, par-delà le Pont Sirât, le corps de Xvarnah splendid. …plein de la semence des étoiles sur la voûte attelées. Issues de la Linea Viridis qui traverse de part en part à travers les couches successives de toutes les gradations échelonnées des vies incorporées en un seul noyau de loyauté. Eclair d’Emeraude, Fils du Soleil Noir ! Au-dessus du firmament, beau néant du mes souffles concrétisés sous forme de roue sans cesse en mouvement rond. Là, pour assuré, la belle vertu de sans crainte réside ! Aucune mouche n’y moleste ni personne qui dégrade en humiliante pourriture, la Face de ma Belle. C’est ce qui n’est plus humain au-delà de l’humaine comédie qui y séjourne. Tu es mon ami, parmi nous, une Croix Gammée aux ailes déployées iridescentes. Hagal! Au-delà de ce qui fut homme, inhumain et sans pitié, plein de compassion pour la Création de son Dieu qui a faillie quand tu fus investi de l’image du mammifère aveugle, mais innocent ….et donc maintenant, restauré en Aryen, Der Ubermensch !
Publié par Noble Immortel à 4:36:00 PM
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samedi 27 juillet 2024

le Khamriya du Vide

L’oeil de l’Aether siège dans l’espace entre deux battements du coeur; il n’y a pas du temps ni la mesure du temps: le temporel se vide de lui-même au milieu.

Ni le Temps. Aucun temps ne mesure le rien de la vacance du Temps. Ni cercle excentrique. Ni clos tenu. L’expression consciente vaque. Navigue l’environ immeasurable. Autour du Vide illimité. Encerclé par le néant.


Enfoui le long des corridors, dans les galeries éthérées de la Roue du Temps, chaque rayon s’élabore en condensé aux confins d’une pensée architecturale. L’intellect concrétise. Convoite puis éclate en bris, épars !


Comme du verre incolore, au sein du rien, aux nues évanescentes, s’estompe! Absent.

La forme prodigue, s’abime contre le pavé étiré. En un clin d’oeil le torrent sustente, brusques des bourrasques altèrent sous l’astre le seuil de l’origine. IAO.


IAO !


Le Corps du Retour,


Le refuge élevé sur un plan hautain, se loge dans l’Aether, le chemin du Retour est vers l’Ether. Sans doute c’est là que comme la Dame des Torrents, moi aussi je planterai mon verger, où des essences de tout acabit verront le jour d’un autre Soleil, fils de l’Ancien.


Celui, lequel émane perpétuellement sans aucune relâche en faisceau doré de mon propre sein, pour celle que je ne verrai jamais. Car c’est Elle qui règne là bas, depuis le mire de mon regard au sein de ma conscience intangible, c’est une sève d’arbre inépuisable, incorruptible. Implacable. Trop forte en poids de poussier d’or moléculaire pour ces vaisseaux d’argile façonnés sur la girelle de L’Ourse qui parade au Pole !


Mais se déplacer cependant, vers le plus haut, plus loin après l’étroite voie glacée du Pont du Bifrost, par-delà le Pont Sirât, le corps de Xvarnah splendid.


…plein de la semence des étoiles sur la voûte attelées. Issues de la Linea Viridis qui traverse de part en part à travers les couches successives de toutes les gradations échelonnées des vies incorporées en un seul noyau de loyauté. Eclair d’Emeraude, Fils du Soleil Noir ! Au-dessus du firmament, beau néant du mes souffles concrétisés sous forme de roue sans cesse en mouvement rond.


Là, pour assuré, la belle vertu de sans crainte réside ! Aucune mouche n’y moleste ni personne qui dégrade en humiliante pourriture, la Face de ma Belle. C’est ce qui n’est plus humain au-delà de l’humaine comédie qui y séjourne.


Tu es mon ami, parmi nous, une Croix Gammée aux ailes déployées iridescentes.

Hagal! Au-delà de ce qui fut homme, inhumain et sans pitié, plein de compassion pour la Création de son Dieu qui a faillie quand tu fus investi de l’image du mammifère aveugle, mais innocent


….et donc maintenant, restauré en Aryen, Der Ubermensch !


Publié par Noble Immortel à 4:15:00 PM
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mardi 12 mars 2024

L'Épaisseur de l'Aire qui nous Sépare

 « It’s the pristine nature of a man which is his only true worth. Nothing. Nothing else is or can be or should be more important than the Man who he really is, up above. The other one, who is underneath, was made to die & disappear. A mere shadow thing of some sort. The Eternal Man cannot be made into a thing. All things disappear sooner or later. How fortunate ! »

« Qui es-tu qui est là ? Qui rode dans l’obscurité. Dans l’espace juste tant soit peu là derrière le simulacre en chair des devantures ? 


Diffus, qui se précise, dans le brouillard qui se dessine. Qui prends une forme circulaire.


Fuyant. Et, à la dérobade. Spectre ?


Ou peut-être est-ce que cela soit le soi essentiel de moi-même dehors, projeté au milieu du vide miroir des préjugés accolé au pilastres du sous sol de la fondation des Mondes ?


Aberration ?


Projection d’un ectoplasme, bavure bigarrée ou astrale coagulante, sphère dans l’attente de concevoir dans le corps d’autre chose, d’entre les vagues murailles invisibles aux contours rebondis. Ici dans les intestins grêles et du colon du dessous Terre.


Luminescent.


Qui s’engendre au sein de déjections d’une atmosphère dense et épaisse, à partir des embrouilles fantasques, et sombres, qui évoquent l’absence du crédible ?


Fuyant les ténèbres encombrantes du Monde.  Où la frauduleuse perception de l’âme défigurée, adulent à genoux, prostré, le futile ou languissant visage torturé de l’outre-tombe des peuples bêtes, aveugles bien sûr, déçus désabusés par le jeu de l’ombrage et de la Dance Macabre des Seigneurs inégalables qui mènent la partie ?


Car l’irréelle qualité de l’Entéléchie Guide, par nécessité et du compatir, soupire enfin. Heureux, de se fuir dans les entrailles de la gironde d’Hekatéon !”



L’Orbe d’Ussat-les-Bains



L’Homme n’évolue pas. Il est tel qu’il a toujours été. Mais il devient avec volonté, tout autre que ce qu’il désire être. Cependant de ce qu’il pensait être dans le non-être de ce qu’il ne désirât pas, si tant est qu’il pût par une heureuse inadvertance se le permettre, la Masse lumineuse de son essence rayonnera dans les ténèbres à l’extérieur dans cette vacuité, à condition qu’il lui ait plu de se laisser de la place pour l’abime salutaire de sa propre divinité .



L’Orbe dut s’enfuir. Les Morts attendent leur tour, pour vaincre au retour des cycles sans aucune commune mesure comparable de moins selon les hommes d’ici bas, l’injure fait aux frères et soeurs de notre Race. Dieu est une plaisanterie incompréhensible pour l’idiot-né. 



ᛆᚼᛁᛆ ᚭᛋᚱᛆᚼᛁᛆ


…que dieu est tout, qu’il peut tout, qu’il a tout rempli de lui-même, et que seul il est digne d’un respect insigne et de l’honneur attaché à la béatitude, tandis que l’espèce humaine est laide, ne compte pour rien et, comparée à la nature divine, est une marionnette.

-réponse à Porphyre, Jamblique


L’Homme n’évolue pas. Mais il semble devenir tout autre que ce qu’il était : & au fur & à mesure des cycles indéterminés à travers multitudes d’Années imprévisibles et immenses, disparaît dans l’absence d’avoir élaborer enfin l’ens.


Comme un algorithme prévu d’après l’emplacement des touches du clavier, le fameux anthro-pantin perd en turpitudes le droit au mérite de rester aux enfers. Qu’il insiste ? Cela restera sans conséquence.


« It’s the pristine nature of a man which is his only true worth. Nothing. Nothing else is or can be or should be more important than the Man who he really is, up above. The other one, who is underneath, was made to die & disappear. A mere shadow thing of some sort. The Eternal Man cannot be made into a thing. 

All things disappear sooner or later.” 


Ich bin der Ich bin. 



Publié par Noble Immortel à 9:24:00 AM
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