dimanche 19 août 2018

נזי



Le 12 ème Labeur des Fols sans Espoir


…ha, pour le vent des astres qui s’engouffrent dans les cheveux ébouriffés,  

Cela laisse songeur, comme j’enjambe des bris épargnés par des regards indiscrets! Les rues disparaissent sous les pas lourds, où le réverbère cligne d’incompétence: Ce qui était n’est plus. On se torche le cul d’Orwell. On rit d’ici noyé par l’ennui moteur des plèbes!

Je suis le vautour qui dévore les cadavres des braves hommes et femmes qui jonches les halles de mon Eternité.   

L’Homme est une fosse à os, un couac de non sens, ses pieds dans la mélasse des pseudo-souvenirs de bienveillance de peine & du malheur. La pretension de l’Instant, évanouie dans le sol. 

Un rêve dans un rêve dans un rêve qu’une folle sans animus engendre, sur le trottoir du Marché, le Dimanche. Un Ricard sans glace sans eau sans verre. Un prétexte qui se doit de remplir comme devoir de l’Eté envers la famille de nos macro-molecules charnues, pour le bien-être de nos insalubres bides entartrés, qui ne défèquent plus comme jadis à travers la grêle des tuyaux souterrains!

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…je ne te manquais pas hélas quel bonheur pour moi ce trépas de Gloire. Inondé de la Shekinah, un délice du répit le Sabbath le jour du Vendredi! Séclu. Inerte telle une transe d’entre les Estoilles du bonheur.  .נזיר

Une greffe d’Arya, dont l’arôme parfume les poils au beurre de karité. Oui, comme un cerf le Dimanche le Jour de Notre Fureur! Ave et persistant astre insoumis.