L'esprit des consciences contient dans son intime fabrique l'intelligence vitale d'une sphère de l'être et de son mode d'expression organique, que cela soit ordonné avec cause ou raison ou à l'insu de ce mode même de l'action. La cause de la compréhension, de l'aperception des choses réside chez l'individu "humain" d'après le bon fonctionnement de l'appareil psycho-physique, ou tant est qu'on le conçoive pour la plus grande majorité des hommes.
Mais un Monde est le lieu de ce que l'on pense voir et ce Monde est à l'origine de ce que l'on croit avoir compris. Et encore.
En fait cela est très complexe, mais ne l'est pas au fond pour celui qui saurait faire la distinction, entre ce que des sphères de conscience imposent, d'avec la perception pure.
Aller dans les détails, dans le fort du sujet prendrait sans doute des pages et des pages afin d'expliciter la subtile coalescence qui fait, que nous savons très bien que celui qui serait à un stade plus vrai dans l'épuration de la matière de la conscience vivrait selon son mode, dans un milieu insoupçonnable, qui sans doute resterait inaccessible de par sa nature à la plus grande majorité des humains, quelles que soient les Races!
L'électron divin, s'est semé sans difficulté, au creux de notre coeur, et le corps que nous adopterons désormais, est hors d'atteinte de l'esprit vulgaire des vieux métaux. Certes, l'inévitable putréfaction attend le cadavre, mais seulement le cadavre.
Il y a en qui mettent en pratique les 8 Béatitudes. Mais l'homme en qui n'a pas été implanté la semence électronique, même qu'il pratique sur des millénaires, cela lui ne sert à rien!
Par contre, en qui la Foudre a frappé, il incarnera du fait nos Carrés Croisés, car en lui vit et voit et respire le dilemme de l'Enfer et la Grâce des Aryens.
L'Aryen ou l'Elu, celui qui a été prédestiné, non selon le Zodiaque ni d'après les entités éthérées qui pullulent en précipité, mais selon une Volonté Céleste Ineffable. Une Volonté qui aveugle ceux qui n'ont pas de vue.
Patience Frères, nous vaincrons ou bien nous mourrons, IMMORTELS. Caressés par la beauté que nous humerons et qui nous jaillira des Coeurs.
