...et ta couronne est tombée du haut de ton ciel de vers le pôle de ton être intime, ami âme et bien aimée qui au regard dérobe ta sur-célestielle racine. Déchanté, le charme enlace le cordial, et avec précaution tâte l'invisible, ici aux yeux pleins de rage et de fureur!
Pleure, s'il en est de ta plainte! Que tes larmes abreuvent la dureté des pasus qui ignares se vantent et claironnent leur inapte vanité de geindre, ou gémir la colossale bêtise.
On combat mais on se plaint et heureusement jusqu'à ce que la terre dévoile et déterre le coeur meurtri. Telle notre preuve de bagarreur!
Peste! Puis plains-toi encore, puis frappe le mur qui bastionne l'innocent dans un clos de préjugés ou quelques préalables stéréotypes ou modèles pour des moulages futurs de clones de copie-collé indéfinis.
Une armée sans personnalité, sans être, aucun sens de soi dans aucun de ses éléments individuels!
Le Dernier Bataillon possède un corps de Siddhas-Guerriers dont aucun de ses membres ne peuvent ni ne se ressembler ni lécher le cul d'aucun autre camarade d'armes!
Si tel est ton souhait, plains-toi puis lutte in kampf d'ici que les idées en ce Monde fugaces ne disparaissent dans le Vide dans le Rien dans le Grand Néant où nos frères nous attendent blessés, couverts de plaies, porteurs de séquelles innombrables, réconfortés cependant par leurs Dames de leurs Amours, leur Valkyrias.
Leur sang noble et 2 fois né colore la terre en fer. Là où la semence de notre or nous attend. Le souvenir du Paradis libéré de ces entrailles qu'on appelle la Terre Creuse.
Et comme Plotin sera un oeil au Ciel du nouveau, à faire connaître l'obscurité des nuits éternelles avec comme lanterne l'âme qui purgea la Plainte.
