vendredi 1 février 2019

Au Banquet des Fourbes



Cela a été dit maintes et de multiples fois à de maintes reprises, pourtant les mesures d’antan se délitèrent dans le rond des parjures. God is but a dead man waiting for nothing, seeking nothing; contented within of himself, elaborating no new cycle of thought or deed.
Comme la véridique absence du fiable,…mais à chaque occasion une part de Dieu ne meurt pas. D’ailleurs rien de moi ne meurt. Jamais.
La Mort est un louange de tes tentatives victoires. Ton insoumission à ce qui en l’homme pour toi l’abaisse ici, sur le trottoir se dégrade, t’abreuve d’une incommensurable finition interne & exulte. Ton esprit au fils de rapier incise. 
Dieu est un épouvantail desempli du sens qui pour ses braves mules au dos brisé, exhorte le refus, chicane, et élève le ton de l’esprit. Le chien de garde ou loup indomptable Cherub au seuil au glaive qui flamboie; au banquet des fourbes. Une détresse déchirante dans l’oreille de ceux & celles qui sont sourds devant leur innommable vacuité.
Ô combien la marée monte? Du Néant sur l’imbécile de notre nouvel âge ahuri, retords et cru du PNL. Zen Astrologue de mon cul! Pedo-sodomite de notre grande culture de boeufs trans-genres. Horreur et honte qui pliés en 2 aux pieds de Hel, brulent! 
Atrocité morale!
Couards maudits de mes plus intimes souhaits. Cadavres que je piétinerai avec une joie hardie, avec l’espoir de les voir enfin, se dissoudre dans les couacs du WEB naufragé. Nano poussière à jamais. Autant de bites pixelés égrenés sur le sol de mon parterre inférieur.
Dont je serai ravi de voir VIDE & évidés comme des carcasses de boucher prêtes pour la vente au Grand Banquet des Fourbes, dans leur rêves éveillés enfin humiliés!