samedi 2 février 2019

La Swastika Tour




Magnificent sprinkling of the Godhead
thru the door of Brahma.

Elle brille pour lui telles des fenêtres, yeux au miroir devant Cieux qui incarnent l’âme avec sa corpulence diaphane. D’étage en étage ne concède au monde souterrain sa munificence de perle que par gouttes! 
Et le sawastika meule l’abyme sans cesse. Une Tour de défiance face aux malices des technocracies incongrues. Tant on est chérit par la Norne. 
Je t’adore quand tu mourras, demain ou hier, peu m’importe, mon amour.
La reflection de nos coeurs transpirent à l’unisson, de nous-mêmes; 
                         « Que le gouffre avale la maelström
                             que les hommes mauvais soient pilés
                              en poussière !
                              Aucune tentative de nous échapper 
                             ne réussira ni en aucun lieu tangible
                          ne saura tempérer notre rage, notre colère! »
Rien ne tempérera notre colère.

Tu verras ce coeur aux confins sans encombre, s’épurer, vaste telle une grotte aux astres infinis que l’Esprit constelle à sa guise, : 
L’Homme Noble est de notre gage, notre création, l’unique et tant souhaitée anomalie harmonieuse! Qu’à peine les anges des enfers oseraient le scruter en pensée ou d’avec comme esquisse, quelque prétendu apocryphe écrit. 
« Mes os sont de nacre, mes yeux translucides. Le sang qui flue une fréquence métaphysique d’or et d’ambre. Je suis l’édifice que ton âme en tout sa candeur irréconciliable avec le faux éclat du Monde confectionne: Le Graal issu de tes conquêtes anonymes; seuls les gnomes les sylphes les ondins les elfes, les salamandres qui copulent avec des ifrits voltages, t’admirent se disant: « Voici, quelqu’un comme nous enfin de retour dans son royaume de gloire étincelante. Voici enfin un homme aryen de nouveau chez lui au-delà des Carpathes, une souche de la Dacie, enfant du Pamir. Engendré de lui-même depuis l’Ancienne Hyperborée pommelée et qui préserve encore d’ici la fin des Temps des vicieuses aberrations , notre Olmlungring!» 
Je t’adorerai demain ou hier
peu m’importe
Que le gouffre engloutisse le Maelström!
Le Sawastika pille perenne
le vaste enclos du Rien,
Et il érige pour l’Eternité
la Tour d’Ivoire de notre ébène:
Tu verras ce coeur sans encombre
s’épurer!
Ma joie y réside.
Cela est mon corps de résurrection.