Comme une tâche d'encre noire dans les ténèbres, le regard alerte et vif sur l'écran interne de son crâne. Le noble homme de bonne famille, de ce qui en reste en tout cas, debout au fond de l'astral dont la nature transparente surplombe l'événementiel des golems in the making...perçoit une "chose" intangible que même Littré, certes n'eût pu en dire quelque mot précis, s'y déplace avec une aisance et incarne le corps de notre aryen égregore,
...et de là d'où je le regarde, l'Aryen et Oeil de notre parèdre nous scrute, heureux de nous reconnaître, là de côté de Tautavel parmi les vents qui soufflent au gré d'un soleil pantin et ou patois!
A chaque plan sur chaque palier un monde spécifique se dessine selon les aptitudes et la sincérité que seul Dieu voit et constate chez les impétrants ici dans cette bulle immense et charnelle jusqu'au poli de l'os. Cette TERRE sera le creuset des métamorphoses perpétuelles. Un lieu si instable que seul un imbecile s'y attarderait! Ou sinon un aveugle né de mauvaise souche!
Qui n'a pas les yeux est damné, et qui en a, voit dans l'affliction de son innocence prisonnière l'absurde débâcle débattue parmi les obscurs spectres pour la possession propriétaire d'un nuage de poussière stérile!
Et c'est nous l'Oeil du parèdre. L'indomptable élite caché dans la fabrique des champs atomics, telle une couleuvre qui glisse à toute vitesse entre l'herbe mouillée en bordure des anciens ponts de pierre creusée par les pluie le soleil et les pas des lézards.
Est-ce le refrain monotone du Monde qui s'estompe, et c'est dans l'air devant mais si discret que le Frère qui incorpore la puissance archétype, veille sur nous sur moi et même sur mes étincelles intimes. Il témoigne qui parcourent des particules de cette matière imperceptible que j'appelle aethérique, l'âme individuelle, immortelle et aryenne.
