Le Ciel en toutes ses parties et sur toute son étendue prolifique, que se soit selon la hauteur, la largeur et/ou la longueur, en nombre, poids et/ou mesure est omniscient quant aux entorses qu'il prévoit et les balafres terrestres qu'il affectionne tant par amour qu'en indifference totale.
Quant à qui est responsable du tout puis de cela qui n'est pas, cela on l'invente quand on fait inventaire.
Il s'amuse comme un enfant malade qui au lit s'ennuie, et devine comme il le souhaite, aux cubes magiques, l'envergure des malheurs ou le bonheur imprescriptible. Il ferait croire que la coque en vaut l'invisible ou le rien qu'on ne voit jamais. Dans les mathématiques par lesquelles qui s'interprète le manteaux de ses largesses, à lui-même, comme une femme distraite & qui n'a pas encore vu son âge, et qui songe au Rimmel. A moins que la « loi d’inversion des prophéties » ne lui contrarie le parcours!
Il attend toujours le dessert.
Un dieu est mort. Un dieu en vit. Et en meurt encore, pour encore en vivre.
De ce qui est prévisible, de ce qui concerne l'opportune durée des cycles dans l'aire des probables comme pour une irruption que même le Grand Architecte n'eût pu prévenir!..., dans les siècles des siècles chez les organismes conscients et inconscients, à poils ou sans cheveux, qui contiennent de la sève, vêtus de corps ou qui vivent sur l'écorce en poudre de Perlimpinpin.
(Le Ciel est un voile qui me recouvre. Qui drappe mes épaules et qui me permet de bien boire.)
Dans le monde des mammifères au sang chaud ou froid, des végétaux acides ou alcalins, et des cailloux pleins du jus métallifère, ou remplis ou destitués ne sont pas prédestinés, tout comme en le domaine des êtres éthérées, recouvert d'ectoplasme sans densité, le Ciel honore et reconnaît, l'attitude altière, l'éphémère précarité de toutes les sensations susceptibles de narguer, taquinard, l'âme qu'il empêtre dans des atomes de poussière et un peu de H2O.
Il sait tout ce qu'il y a à savoir et moi je n'en sais rien le moment je me déshabille afin de bien prendre un bain.
Au-delà du Ciel et du plâtre, c'est un poltergeist sans témoin. Un frère qui admire le frère quand des amis du même acabit, se voient dans la glace.
(Le voile flamboyant de la Shakti, évasive, intangible, tournoie autour des Pôles, sur ces insoutenables continents d'eau glacée.)
Majestueux et avec désespoir, ils transforment la mortelle glèbe et garce en tonnerre. Ca leur fait un mal terrible, et suscite en eux en dépit de tout autre désir une tourmente suicidaire et nihiliste, d'impuissance. D'effroi!
...mais le Ciel et qui est au-dessus, se régale et ils festoient donc encore une fois dans son enceinte, l'eau de vie à 90° qui bave au coin des lèvres! Edentés, le bandeau sur un Oeil Offert, et Unique dans le hall de Walhalla.
Ils manient les Runes, il songent, en égrenant des morceaux de rancune. Ils endentellent de nouvelles structures avec du givre imbibé de leur propre sang, puis des flocons en forme de Hagal, éclairant de leurs reflets argentés le Grand Clos d'Asgard.
Et c'est un nouvel édifice de côté de Paderborn, près de Vigrid. Le peuple en porte le sceau comme une preuve dans la Tour de Nord.
Mais il y a en a peu qui déclarent, avoir retrouvé le sentier de leur Coeur.
& Les Vierges du Rhin non loin de là, éplorées versent en abondance la perte de qui étaient aimés.
800 X 540 = 432,000 = Un Kalpa = Ragnarök.
