Idavoll

Au-dessous du Grand Astre Noir, plongé au travers de l'anneau d'or, l'Ase se dissout, il est tout entier lui-même "la chose" qui se façonne, mais l'acide furieux dont il est en proie en dépit du milieu où il fut, dévore sans cesse sa génétique capitonnée, le flux sanguin en sa rondeur, corrode tout ce qui est futile et de trop, autour. Cela dépouille la vanité des anciens gestes, & embellit la stature intérieure.

Dans une salle profonde & légèrement voûtée, la croix sainte aspire en veloutés au milieu du Céleste Monde souterrain, à fleur de terre. Sur une plaine, au-dessus dont l'herbe verdoyante descend en pente douce vers l'eau à travers forêts, ...nos frères de jadis y demeurent, morts, sous un sol noir d'humus riche en potassium, abreuvé de la chair de ces héros enterrés au pied d'une fontaine, dans une vaste combe. Là où la biche se promène la nuit, quand tout y dort, Thrudheim!

Douze Rois aux casques ailées me scrutent, leur austérité encourage. Leur regard de glace rappelle le Ciel Clair aux feux de l'Eté dans la nuit. Quand c'est le Bifrost qui fonde, et le soufre charnel des nôtres depuis longtemps sous terre, réclament que leur fierté soit régénérée!

En chacun dans la sève d'Yggdrasil, le coeur se refortifie. C'est le vaisseau blanc en son aspect voilé qui teinté par la fumée des rêves et de ses idéaux hautains, transforme l'adhérent. Le métamorphose. Il devient ce qu'il désire. Si tant est que son Dieu dirige.

Et son destin au fond des couloirs, sur une grande échelle comme des cercles concentriques d'eau qui se meuvent, à jamais en voile sur une plaine: Idavoll dans la Rhénane.

Dans le Valhalla, sur chaque trône cylindre, siège un Ase, un Avatar d'Odin. Bien que chaque dieu à chaque Âge s'y assoit selon le rite, d'après son espace solaire orné d'étoiles, à son lieu spécifique de Pouvoir. Un, chacun, se nomme Odin. A l'Epoque de la Déesse Sagà.

Et le frère qui plonge dans le noir de l'onde du Soleil, s'engendra comme Vali qui respire. Tout l'être inondé de la luminescence de Baldir: Vengeur demain au Crépuscule de la Grande Bêtise! Un avatar de Wotan.

L'Initié d'Odin entouré par le Serpent de Midgard
Jörmundgand,
prend ses racines dans le Néant
du Soleil Noir.
Il est l'Eclair d'Emeraude.

Il est devenu Mjollnir, et c'est Th(empus) O(mnia) R(evelat) qui vaincra quand il mourra.

  

What disappears here

What disappears here. Disappears into the unwanted, while the diamond fellow conquers still! No longer waisting the energy of his eyes that the brave once fell for, now glorified through their meaningful deaths. 

Soon the eagle will no longer even be a memory. Neither the stones I tread, while I walk alone. A pilgrim in Chaos, in a diseased country between Germany and Spain!

The stars watch for my coming. 

The secret sulfur underneath, rupturing the earthen floor. Dog grass cleaving to all the dead corrupted bodies, left behind. 

** * ** **

Who would be silly enough to hold back the skies and their departing? The sun and the moon and their demise. Their disappearance inward, dissolved within each middle center. The wheels of fortune colliding, welded into the Great Dharma-Padma. 

The death of a Hero, or of all the worthy warriors and of the great big bad dream of today that they fought, that would nevertheless persist on clutching still more, to a noble heart to kill it feeding on its entrails, to make it sink again into another burning furnace to be forgotten by its own children!

Just to watch what was beautiful, crushed again by their stupid brothers and the mongrels they brought with them. 

** * ** **

I'll not give my soul ever again for pipe dreams. Nor ever whatever want once more delight in the sight of dead aryan flesh! Krishna and Arjuna can just go fool someone else. Sapping the life force from the gullible herd for some invented universal cause! Wherever or for whomever, never! 

My spirit will thrive beyond the fire with my own kind. And the tempest will not take us. 

We'll fight again, but for what is real.

Nor will I ever be again entranced, enthralled or dumbfounded, by any make believe culture from before; because it's all made up, now dead and gone. Compost for the runic seedlings of tomorrow. 

My children will no longer be the fodder for zionist canons. There will no longer be a descendance that'll be degraded on their own turf in their own homes! No never any more.

The wind listens to what I say. ...and I know very well, how much Satan hates me and my kind.

I am the embodiment of a secret nation. Living on another plain in another place in another TIME. 

Tell your children now, that it's too late. It's time to build the inner aryan edifice. The spiritual seed of the soul that'll cross the abyss, cultivate it and take care. Learn to die then go to your real homeland, where the lice of this world can't be invited!

Tell them, here, everything's a joke. But if they dont care or dont listen, then their not worth the land we're fretting for!

Asgard at Untersberg beyond Hyperborea! Axis Mundi in Cordibus Nostris. Irminsul!

Le Poltergeist Céleste dans le Plâtre du Wyrd

  Le Ciel en toutes ses parties et sur toute son étendue prolifique, que se soit selon la hauteur, la largeur et/ou la longueur, en nombre, poids et/ou mesure est omniscient quant aux entorses qu'il prévoit et les balafres terrestres qu'il affectionne tant par amour qu'en indifference totale. 

  Quant à qui est responsable du tout puis de cela qui n'est pas, cela on l'invente quand on fait inventaire.

   Il s'amuse comme un enfant malade qui au lit s'ennuie, et devine comme il le souhaite, aux cubes magiques, l'envergure des malheurs ou le bonheur imprescriptible.  Il ferait croire que la coque en vaut l'invisible ou le rien qu'on ne voit jamais. Dans les mathématiques par lesquelles qui s'interprète le manteaux de ses largesses, à lui-même, comme une femme distraite & qui n'a pas encore vu son âge, et qui songe au Rimmel. A moins que la « loi d’inversion des prophéties » ne lui contrarie le parcours!

  Il attend toujours le dessert.

  Un dieu est mort. Un dieu en vit. Et en meurt encore, pour encore en vivre.  

  De ce qui est prévisible, de ce qui concerne l'opportune durée des cycles dans l'aire des probables comme pour une irruption que même le Grand Architecte n'eût pu prévenir!..., dans les siècles des siècles chez les organismes conscients et inconscients, à poils ou sans cheveux, qui contiennent de la sève, vêtus de corps ou qui vivent sur l'écorce en poudre de Perlimpinpin. 

  (Le Ciel est un voile qui me recouvre. Qui drappe mes épaules et qui me permet de bien boire.) 

  Dans le monde des mammifères au sang chaud ou froid, des végétaux acides ou alcalins, et des cailloux pleins du jus métallifère, ou remplis ou destitués ne sont pas prédestinés, tout comme en le domaine des êtres éthérées, recouvert d'ectoplasme sans densité, le Ciel honore et reconnaît, l'attitude altière, l'éphémère précarité de toutes les sensations susceptibles de narguer, taquinard, l'âme qu'il empêtre dans des atomes de poussière et un peu de H2O.

  Il sait tout ce qu'il y a à savoir et moi je n'en sais rien le moment je me déshabille afin de bien prendre un bain. 

  Au-delà du Ciel et du plâtre, c'est un poltergeist sans témoin. Un frère qui admire le frère quand des amis du même acabit, se voient dans la glace. 

  (Le voile flamboyant de la Shakti, évasive, intangible, tournoie autour des Pôles, sur  ces insoutenables continents d'eau glacée.)

  Majestueux et avec désespoir, ils transforment la mortelle glèbe et garce en tonnerre. Ca leur fait un mal terrible, et suscite en eux en dépit de tout autre désir une tourmente suicidaire et nihiliste, d'impuissance. D'effroi! 

  ...mais le Ciel et qui est au-dessus, se régale et ils festoient donc encore une fois dans son enceinte, l'eau de vie à 90° qui bave au coin des lèvres! Edentés, le bandeau sur un Oeil Offert, et Unique dans le hall de Walhalla.

  Ils manient les Runes, il songent, en égrenant des morceaux de rancune. Ils endentellent de nouvelles structures avec du givre imbibé de leur propre sang, puis des flocons en forme de Hagal, éclairant de leurs reflets argentés le Grand Clos d'Asgard. 

  Et c'est un nouvel édifice de côté de Paderborn, près de Vigrid. Le peuple en porte le sceau comme une preuve dans la Tour de Nord.

  Mais il y a en a peu qui déclarent, avoir retrouvé le sentier de leur Coeur.

  & Les Vierges du Rhin non loin de là, éplorées versent en abondance la perte de qui étaient aimés.

  800 X 540 = 432,000 = Un Kalpa = Ragnarök.

All the Little Pixies

All the little pixies just go pouf!

Hiding in the woods, fleeting like dead leaves when the trees go bear. Life in the world with all its meditations vitalized thanks to the blood streaming across the innumerable arteries into the veins of a potential corpse, that'll be left behind, stranded & of course lost in the dust till doom's day. 

Death is indeed a very kind mistress to the secret soul. Embracing the loved-one in the inner temple; everyone there, is a burning bush, an un-depletable torch. Inspired by their own godhead, free and loyal till death. A chosen few who chose not to be chosen! Because their Honor sprung spontaneously from an from an unwarranted certainty, rooted in nothing, always liberating inside, what dirties a ghost's entrails. 

Who can lose, when its a real heart that wins, over and above eternity, with disdain for self pity, humiliating no one. 

They can keep their mongrel tyrant of a god, 

and speak with slave-angels all they wish, 

in the land they've taken from the ancient others.

The brave with their family are already

in Paradise,

but the body bot from here

falls into oblivion

with those who lauded

the scoundrel's life and a petty god. 

Yet all the little pixies go pouf in a blitz. Wandering between white oak and mountain ash, on an astral plain. Because now even though the forests have been cut, never to be replanted: it's time to go to the next place, where oak & ash are never felled! ...and pretty pixies frolic.

...and yes there, the pixies just dont go pouf, but stay and watch, the Aryan parade in a new Hyperborea. And it's not the Old One!

Its in you, but you have to fight. 

& lose but get the best of your enemy, first

before going off with the Pixie Folk. 

Fright is a fear a silly way of being 

when there's no longer any god. People practice like programmed zombies, 

when it's the Bible god who'll rule in their stead.

Le Golem ה גלם

La sustancia del Enemigo es la inteligencia racional. Se podría por ello concluir que el pensamiento racionalista de los terrestres es un agregado demiurgico, una trampa por medio de la cual, el Demiurgo los retiene encadenados. Es inútil, por ello, pretender vencerlo valiendose de la inteligencia unicamente...

La substance de l'Ennemi est l'intelligence rationnelle. On pourrait supposer par conclusion que la manière de penser rationaliste des terrestres n'est autre qu'un agrégat démiurgique, une voie médiane par laquelle, le Démiurge les retienne enchaînés. C'est inutile, de prétendre le vaincre en se basant uniquement sur elle...

Desde siempre(y en este mismo momento), el Demiurgo se esfuerza por crear algo proprio. Y solo le resulta el plagio, la imitación deformada. Sabe que su astucia encuentra un limite...

Depuis toujours, le Démiurge s'efforce de créer quelque chose qui serait sienne. Et seul en résulte un plagiat, une copie, une imitation déformée. Il sait que sa ruse rencontrera une limite(impossible à dépasser)...

La Biblia se refiere a ciertos seres extranos, que llama Sheidim, mezcla de hombre y animal.

La Bible raconte comme quoi il y a eu des êtres étranges, appelés Sheidim, un mélange d'homme et d'animal.

...(y) los magos negros, unos seres de sangre impura,...han inventado una creatura artificial...

...(&) les mages noirs, des êtres du sang impur,...ont fabriqué une créature artificielle...

...Son entes no humanos, que en nada se parecen a los que han caído prisioneros del Demiurgo...

...Ce sont des entités non-humaines, qui en rien ne ressemblent à celles qui étaient déchues, devenues les prisonnières du Démiurge...

** * ** **

La fabricación del Golem tendría esa finalidad, que hoy amplian con sus robots y sus "ordenadores" electrónicos que van restando toda iniciativa y capacidad individual inteligente a los humanos. Desde los anos veinte vienen trabajando con una maquina infernal, perfeccinandola (algo de esto pudo verse también en el film "Metropolis", donde se inventa un robot, un Doppelgänger de un ser humano...) con la utilización de partículas subatomicas, rayos "psicotronicos" de ondas psíquicas, electromagnéticas, como la luz y las microondas, destinadas a interferir o insertarse en la actividad cerebral, cambiándola. Se podría "leer los pensamientos" y también actuar sobre la mente-cerebro, dando "orden", semejante a como el cerebro comanda los organicos fisicos, sin que nosotros seamos conscientes de este estímulos.

La fabrication du Golem aurait comme finalité, aujourd'hui le remplacement de l'humain avec des robots commandés électroniquement à distance. Le but serait de retirer aux hommes la capacité pour chaque individu de penser pour soi-même, ainsi que toute initiative. Depuis les années vingt, on  se sert d'une machine infernale, qu'on actualise technologiquement(il y en a un aperçu dans le film "Metropolis", où est confectionné un robot, un Doppelgänger de l'être humain) en utilisant des particules sub-atomiques, des rayons "psychotroniques" à partir des ondes physiques, électromagnétiques, comme la lumière et les micro-ondes, destinées à interferer ou à s'insérer à l'intérieur de l'activité cérébrale, la transformant. Ce serait possible "d'y lire les pensées"  et aussi d'agir sur le mental-cérébral, donnant des commandes comme si c'était son propre cerveau qui commandait, et sans qu'on s'en aperçoive!

Text espagnol tiré de l'extraordinaire livre de Don Miguel Serrano

intitulé: "Manu, por el Hombre que Vendra", "Manu, pour l'Homme qui Viendra". 

Pondering among Scattered Thoughts

I pondered, upon a lake that dried. No water nowhere none to be seen or sensed, unconsciously, who could feel it. No wetness there. In the wake of forgotten tears, I smiled. Because now it was since death come each day, an incredibly happy thing to be elated, like gold in a furnace never diminished, but like mercury as well, stronger than the golden cupidity teasing men, yet more voracious than there greed for it. 

The destroyer of Gold and its sin in the deviated minds of our brothers and sisters who follow the pretentious god of an other tribe.

After all, what's there in a desert hole. Filled with clay and dust and god forsaken corpses.  

It wasn't normal to adapt. To concede. 

Either for love or hate or whatever! Wasn't natural to betray one's truth inside one's self. For peace of mind, the peace of mind of others who weren't capable of hearing Nature's voice. Scared to death by what is real. 

Those for whom the very foundation of their being was centered in this place and flattered by people betrothed to skullduggery, who were given to the lies inscribed in our heads, rewritten to hide our shame with historical fantasies of greatness! Only pleasing the bewitched who knew, shattering themselves against the great karmic wall of their short sighted incompetence.  

No pituitary gland that would function properly as conceived by natural law in its most intimate ways. Permitting true men to know their God as one with themselves.

Only religion replacing God's absence in their daily actions. 

And now they are invaded in their brains since when & for how many disastrous miserly generations again, empty and inane to ensure it get worse? Insulting the mysterious aryan light  and beacon of mankind, for the fake reality that usury can offer! To the dead of soul who are lost forever from the thoughts of Anima.

When what is distinctly intuited within Nature's bosom. Is that unique and homogenous Will which was conceived by the World Soul, in form and body, to endure hardship, whatever matrice presented itself. Ensuring Nobility to be the only reason for its coming into concrete mortal being.

Surely to ponder is a dangerous process. Puts into doubt the feeble minded! Inciting the hypocrite to lie again, for better in the bank and on the beach, and white girls naked turning their skin negro. 

They faint or are withheld from doing so, thanks to the poison they were fed at home or in public school. Living on usury. Borrowing on usury. Feeding on usury. Drowning their own in usury.

Buy and selling with usury on usury. 

Traitors to their own kind, for the benefits of semite Usury. Bowing to those who wield usury's forces of nothingness.

Living stupidly for a fake god on the pavement, between four walls in Babylon. No trees nowhere. No blond infant, nowhere to be seen.

No pride and not a enough of selfless Self Love for Oneself as Nature's Great Supernatural Ornament!

But in another place according to another kind of Time, Odin's young will have abandoned the World of Rust. They will thrive with their own kind elaborated with love as the primordial Archetype of all humanity. In another sphere where there can be no Usury. 

  

The Best in the Best

Race is the best soul in the best bodies with a sacred constellation from beyond, consciously guiding its principles of involutive incarnation. Each race has its very own if I dare say, GOD leading it along the way through the chasms of darkness. A light in the shadows! 

And as is with all true race, only the most good and honest within it, can hear the Voice of its Deity. Knows what is best for it. Precedes it by the sacrificial nature of its individual personality here in this place of duplicity and speculative meanness. The Führer was one of these Great Souls who incarnate the Racial God.

Here below among so many dissolving uncombinable genetic mixtures, the great soul of a Race has obviously less of a chance to bring down to earth that sacred spirit that moves things from within and not from without.

And all equilibrium in the Cosmos is lost. The Life Spirit is squandered through petty semantic quandaries by those who are unfit intellectually as well as morally, only to seek ways that would harden and frustrate Nature in her desired Sacred Order.

True Nature combats the disorganizing principle of the Demiurge, in and through the unanticipated cracks that she has so jealously laid down within the cosmological foundations that made his existence possible. Un-behest to those who pretend to secretly control by some artificial process Nature’s Will:

Which is always, i.e., the Best SOUL in the Best Possible Bodies. Even though it be in the worst possible world! 

Because Nature is Eternal and Good from its very intangible base. She wishes what is best and good in every living thing to come. 

The Demiurge is her mechanical dark enemy. Issuing constantly from the infinite abyss of nothingness. The Demiurge has no soul. No spirit. And therefore no truth can determine its innate ontological direction. 

He is shallow and but a vain splash on the wall of Nature’s Great Plan.

Yes the Winds swing to and fro, while true men or what is left of them, debate their own personal and intimately vital intellection.

We should be confident, knowing that there is no need to prove anything to anybody. Our Noble Soul is a rejected offering and therefore need not regret the passing of eternity in grain of sand. A little « cork » bobbing on the waves, seeding the Next Satya Yuga, in spite of it all.

Hieros Gamos! The Time needed in order to realize this alchemical Higher Ideal, is of  course of no importance. Time in eternity is nothing. 

« …must one day become the ruler of the earth(and not of this ugly world). »

Truth conquers all obstacles, whether men and titans would betray her: that Truth which Our undefiled Racial Nature has given us from up above with the strike of a thunderbolt. Yet some of us have misused the great Gift. And yes now it all comes back in our face… through the "sins of the fathers" coming home to roost... 

...For K.Y. and the Kameraden! 

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Comme une tâche dans les Ténèbres

Comme une tâche d'encre noire dans les ténèbres, le regard alerte et vif sur l'écran interne de son crâne. Le noble homme de bonne famille, de ce qui en reste en tout cas, debout au fond de l'astral dont la nature transparente surplombe l'événementiel des golems in the making...perçoit une "chose" intangible que même Littré, certes n'eût pu en dire quelque mot précis, s'y déplace avec une aisance et incarne le corps de notre  aryen égregore, 

...et de là d'où je le regarde, l'Aryen et Oeil de notre parèdre nous scrute, heureux de nous reconnaître, là de côté de Tautavel parmi les vents qui soufflent au gré d'un soleil pantin et ou patois!

A chaque plan sur chaque palier un monde spécifique se dessine selon les aptitudes et la sincérité que seul Dieu voit et constate chez les impétrants ici dans cette bulle immense et charnelle jusqu'au poli de l'os. Cette TERRE sera le creuset des métamorphoses perpétuelles. Un lieu si instable que seul un imbecile s'y attarderait! Ou sinon un aveugle né de mauvaise souche!

Qui n'a pas les yeux est damné, et qui en a, voit dans l'affliction de son innocence prisonnière l'absurde débâcle débattue parmi les obscurs spectres pour la possession propriétaire d'un nuage de poussière stérile!   

Et c'est nous l'Oeil du parèdre. L'indomptable élite caché dans la fabrique des champs atomics, telle une couleuvre qui glisse à toute vitesse entre l'herbe mouillée en bordure des anciens ponts de pierre creusée par les pluie le soleil et les pas des lézards.

Est-ce le refrain monotone du Monde qui s'estompe, et c'est dans l'air devant mais si discret que le Frère qui incorpore la puissance archétype, veille sur nous sur moi et même sur mes étincelles intimes. Il témoigne qui parcourent des particules de cette matière imperceptible que j'appelle aethérique, l'âme individuelle, immortelle et aryenne.

Outside the Gates of Damnation

In the abyss out there amongst the starry nights, there is no community of acceptable consensus. What ever the effort, the physical brain breaks down, while the protective cortex layer which enveloppes the real mechanical functions of input and output sink into a wet kind of celluloïd confusion, as the connections of the secret fleeting mind disintegrate into the great void! The god mind between in the interstices, betwixt one barrier and another. Frightful to those who are depressed. Contemplating either suicide or damnation. The annihilation of self of self-awareness, of either the inside or the outside of things. 

The cracks that hold the checker board together. Through which flow and reflow perpetually our life fluids, continually at the edge of what would be morally decent, yet would be indecent, if not surpassed by a man's ontological courage. To destroy the stone and take the sword. Or to destroy all of it and pass on: leaving nothing in the bier, no one in the grave to weep for. No one mourning, nothing to mourn. 

Death the revealer of the here unwanted new thing! Too magnificent but so simple and fine in aspect to be known sensiblement in a world made for red dross or the great psychic dissolution thanks to ayahuasca or some denaturing DMT de merde!

I would,...like a tremendous rapacious sky devour the universe in one drop of milk. But never butter up a kamerad! Nor dream of annihilating his family, or his home. 

Beyond the perceptible optical horizon, which in constant worry is distorted parasitically, in those blessed hidden fields where Yggdrasil dwarfs all possible commentary to insignificance, the secret aryan mind pervades translucide yet tangible like the deep root of the Ash Tree in Hûrqalya thriving in the souls of the immortal white god of light in each of his kind.

Interdependent patterns in no locality dont quantify nor qualify the real essence of a mind. Nor does the space between the brows make up in a nut shell, the heart's unique capacity to fathom its own proper monadic hennaed.

Off the shores where so many beasts of all kind have have sunken to their asphyxiating fate in the heavy waves beyond the solar light, a single mammal becomes a nothingness; and the supposed intricate algorithmic & complicated numerical formation which composed its wondrous dexterity, disperses into vacuity. 

And the patterns mean nothing save in a room conceived in outer darkness. Life becoming or having always been a plaything to some blood thirsty divinity who with mathematical formulae across the counting of innumerable gnomons in an endeavor to wear exponentially within what some would call a space-time continuum, tortures what he has made and then says it's certainly divine. 

Homo Illuminatus

...je viens de la part de mon Père comme une calamité pour toutes les "Classes", tandis que l'Usurpateur à l'aube blanche de l'hypocrite viendra, le crane recouvert, portant une croix de pacotille, une abomination, face à l'intrépide puissance de ma Compassion Sélective et pleine de jugements que je n'hésite jamais de porter! 

Pour moi, il n'y a pas une caste qui vaille pas plus qu'une autre: 

et c'est ça qui me soulage et qui est comme un baume doux pour le ventre, la durée de mon séjour aux Enfers...Dieu est un Grand Tout qui s'issue de ma tête rempli d'effroi et de tendresse, et Qui avec son seul et unique Fils ou verbal Souffle, porte le Monde que je constate malgré moi! 

Aux Enfers comme au Paradis; le Valhalla est une Grande Salle de Braves et qui me plaît infiniment, me donne la joie, dont le feu du Soufre Céleste, l'INTANGIBLE inflammable spectre, se distingue de la new age non-localité bidon.

Cependant, ô Doux Jesu que je suis, ô combien mon esprit ne restera pas toujours auprès des hommes faits de beef steak, car ils sont faits en puissance de chair pour les assiettes & d'os pour chiens, poussière à jamais dans la gueule du vent qui tempête, et encore...

Il n'est que les 5 sens de leurs pentagonaux appétits, et la frêle fondation des vanités qui les attachent aux cadavres qu'ils révèrent avec des fleurs. Ils habitent la pénombre des soubassements érodés de cette terre creusée, qui les accapare, prenant leur temps encore une fois avant de recommencer le boulot do-do, et les activités pour leurs robots enfants!

"Te battre pour qui, et pourquoi faire? 

Les fils du Père Transpolaire, attendent et m'accompagnent comme toujours, ici bas parmi les multiples états hypnotiques, ces attendrissantes religieuses trances, la durée de mon séjour en Enfer, d'ici que je remonte et de nouveau, place mon Corps de Gloire auprès des Soeurs Etoiles, au-delà du 9ème Rang et ROND de cet abime obscur!"

"Je reviendrai si je le veux!,...mais si je ne le veux pas? 

Hah et hah hah!" 

Il est temps de dissoudre le cadavre et laisser déchoir vers sa fin programmée, l'inéluctable prédestination des pseudo-hommes qui tournent en cercle dans cette cage qu'ils ont  souhaitée bâtir!

Il boivent à leur propre santé infâme de qui démissionne...

...ayant construit avec tant de largesse leur arrogante inadvertance. Et certes pour eux-mêmes comme pour les enfants de leur bâtarde déchéance, mais prévu mécaniquement!

Ô le pendu, il est bien placé
Il voit la terre à la renverse

comme un gamin dans le lait de sa Mère
tête bêche.

Mais plût à son Père
que l'Eté s'acharne, fatigué de chaleur:

Que les tomates murissent
et le Sanglier dorme
près des ruisseaux.

Après, tout ce qui arrive
rien que par notre vain désir:

Ce ne sont que les Innocents qui n'ont pas d'âge
qui vaincront

et pas du tout vos enfants de misère sans âme ni conscience
produits du sperme et de mauvais calculs
résultantes génétiques et dégradables à défaut du mieux!

Aryano Gesus Kristos

This is how all Aryans leave this World, and without regret!

Never anything else! Not ever was I from a waisted land of debt owners!

My life is the grass that grows, and with the wind bends even when there's no one there; not even if good old Bertrand Russell could be expected to say otherwise!

I own each star, yet each time I'm someone else. I am one with my Dad, but all the same, I'm my own Father to myself! Oh God, how awful to carry one's own cross and heart breaking burden; yet I'd never been someone else. I'd never wish it. 

Good looking or not. But all Aryans are beautiful. They are as the Angels, but sometimes come from Saxony. The gods or Neteru are a wondrous living "THING" in my breast. 

I see as if it were with their eyes, but they are mine: what is there inside, belongs to the same great grain. For the gods and me logic doesn't stand and can't withstand the "DRAFT' pushing over into nothingness the brittle severed brain now become but devastating worms. 

My brothers are "the Christ", and at the same moment just what they've always been:

The dome the sky the earth and what's between ,each a great spirit wandering in the Great Abyss. And how terrible!

A Mind Star for eternity, yes!

In the Scrapyard

You go from bridge to bridge, on a pedestal of psychic fibers. While all around during Holy Week the dirt from underneath the nails, sprawls an evil mess of weaklings, weeping cynically and unconsciously with a beer in hand: no more living than the dry dead leaves between the sacred toes of children when they play in the streets.

Useless to themselves, to the earth, and to the heavens heedless to this dramatic futility called mankind, "children of god"?! Nevertheless only to be demolished inevitably in our concrete dreams of real vengeance.

Surely, for all the junk in the village, nature will banish the intolerable so called human desolation.

Using our bodies to the bone! Wrenching from the calcium's innards the sweet sidereal marrow, constructing with its essence, a better creature in the next avatar. Crushing like the Virgin the worthless bad and sour mortal soul with our heel!

Taking advantage of the fruitless scrap in our garden. Breeding the Hyperborean Return, and the good death to all mongrels.

** * ** **

Nothin' to save an' nothin' t' lose. The Soul goes up forthright!

   

ANAMNESIS

Alors que tu es pris au piège d'une ardeur irréconciliable avec l'inertie hivernale de l'être animé. La conscience se règle et dirige, telle une fantaisie de Jamblique devant l'antre des Nymphes...

...d'après une cadence mortifère et pré-programmée, dont la mécanique a été conçue afin de retenir l'âme dans le Cirque folâtre d'un tout puissant mégalomane au regard mortel, ..........

** * ** **

L'esprit noétique se fait prendre par une ombre et dans l'ombre de lui-même aime de toute sa force, la sève celle-même qu'il exude de son être propre, plongeant depuis l'au-delà de part en part à travers les 9 cycles indéfinis et ordonnés selon la substantifique forme que le dieu s'offre par plaisir à partie de son ennui; et qui n'en finissent plus de surgir en cascades en accord avec les corpuscules qui vaguent.

L'âme et l'être s'unissent enfin mais cependant  se dilapide sans cesse: le grand corps ronfle dans le sommeil, quand le dieu est enseveli dans la nuit dans une pierre...

...d'une seule entité homogène se dépêtre de la paix interne, se désempare!

Et n'est ni mâle ni femelle, au Ciel luit comme l'astre qui déchoit sur mon front et en définitif m'éclaire.

Comme l'orbe lunaire glacé je suis mais tout de même le Soleil diurne et fait d'épouvante, immerse des peuples de toute identité dans une trance collective et rapt la volonté libre de l'Immortelle Conscience Morale,

Qui siège dans la prunelle de l'autre. Là encore le Christ-Roi, notre Lucifer rebelle et bénéfique, sans arrogance, refuse de se soumettre à la tyrannie de yuda, duquel la face masquée dissimule à peine l'abomination et barbare, contre Nature qui pour 3 gouttes d'huile achète la loyauté de tout un peuple traître! 

The Old Hooded Man in the Dark behind You

Odin without makeup.

Weird and weird as yet could be. The shadow in the back lines behind, watching the courageous fall to oblivion!

In his book is written the names of those who fall in whatever battle, in blood or soul is ripped. Those names are there but if not, are condemned though you love them, though your heart be filled with hate to the brim!...for others. 

They have no place to go and thus stay in this quagmire to rot, fertilizing the soil with their disintegrated atoms, for the future life which awaits mortel men. To be reprogrammed or predestined to die and die again on earth for Moloch.

Their names are not in the book. And from one village to the next the hermit goes, as happy as a god, unseen.

How Odin hides in a criminal world.

Hooded and watching between life's cracks, and concealed in the dark, like the Angel of Death, he is a friend to God, here and in the astral world.

He hasn't but one eye opened, and it's for you. Others feel his passage, when he's with you and are frightened; its like a cold breeze, when he's loves you. 

Yet you know that he's as the great heat of the sun, burnt to a crisp like a charcoal stone. A dark glaring diamond with an eagle's wing dress hidden beneath his black head cloth!

Ô God and Jesus. Why fret? It's your essence replenishes all that lives and breathes in this World, and in all the others more than likely!

Thule's Child and His Justice from up above.

No Pity & No Mercy but to Ours

...but then again it isn't Truth that matters, but only Victory.

...and the living breathing unity of blood has died and dead has left these ambiguous places of fake hope and ideological misshapen baits for liars on the edge of Cosmic wilderness: there is no aquarian age worth waiting for nor to be had. 

For surely all the cycles of Time are but a predestined cybernetic Zoo for the wild animals who've been caught in the tide of waiting for an Avatar, who free are now killed in the inertia we might call patience or is it the laziness to wait for what'll never come.

Act now my friend. ...you are that god that Christ has called into this forlorn and very deep well. It's your light and love, consecrates the sky and the earth!

But surely there is no chubby cherubinic pity for the warrior of God, and all that, is very well, and sure in showing to us who are willing to die for truth and god and love, just up to what stage in this theatre, God has forsaken this toilsome place where there could never be any hope worth wishing for!

AND THANK GOD ONCE AGAIN!

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Where God has died, I am alive. In the next place next to nothing visible I live with a foot in the grave, regenerating my soul and the love of my Folk. But here, there is thankfully no consolation that could keep me here, hesitating on the brinks.

Death is a friend, gives me strength. Gives force and will to my kids. Is the hope of not of here, but as the future-present case is really kept far away in its gracious transcendental meaning, from the carnal and delusional and debasing intentions of those who as the living-dead feed on the lies of an invented past, and have disappeared from in front of my angry and pitiless regard!

In my Heaven there is no pity for devils. In that place the Krist is King and Lord. 

...and yes, Social Care does indeed exist here in Hell, where the weak and uncomely rule with jealousy.  

Ruthless with myself, I expect no compassion from no one but those who with sweetness fill their cups, have had their hearts split and put into shattered pieces on the turf of this world.

Yet the herd wanders aimlessly. Towards more and more inhumane standards of selfish conduct for the innocent lives they destroy. Stripping good men of their well founded pride to be themselves: if only they listen, without discernement.

The sword has struck the pith in the chest. The god within, a marvelous wild bird unknown, having no definition as yet to be found in any dictionary published; it has no known preconceived name that would call it to come forth amongst the prejudiced who see only what isn't truly there in the halls of secret heroes.