C'est un sang éthéré qui coule dans les veines subtiles de l'homme aryen tandis que dans les replis de la chair de l'humain organique réside en mouvement une espèce de fluide de synthèse composite, de couleur écarlate parfois presque noire et glutineuse. Dans l'aryen agis une forme diaphane, claire traversée par une luminescence de couleur saphir, radiante parcourant ce que d'après certaines doctrines de l'Inde sont appelés les nadis.
Voies luminescentes intérieures aux corps physiques qui n'existent activement que dans l'être noble et bon. Chez l'individu mauvais, il n'y a rien de l'aryen et donc du bon. Le sang de son corps subtil n'est qu'un fluide astral et grossier, manufacturé par le temps sidéral et l'espace stellaire et planétaire concomitant !
Le fluide organique, projection astrale coagulée, est le poison internel qui achemine la foule du peuple selon leur mortelle substance vers la Mort et vers le Royaume des Morts là où seules les âmes mortes entrent, macabres fantômes elles discourent ou se taisent oubliées aux confins de tout ce qui est vain! Région de la Vanité et Tombeau des Prétentieux. Grave est le mystère, ce puits profond, habitat de la vie futile des mortels programmés.
Le sang royal du Noble Aryen défie le triste sort du corps terrestre, démonté et oxydé pars les 4 élément en dérive. La lumière occulte de sa nature provient d'un autre monde, qu'on ne saurait transgresser; tant elle méprise le sang mortel.
La transfusion sanguine n'existe pas pour l'être noble, seul le Dieu des Aryens parcourt la monade corporelle de sa conscience homogène.
Le regard de l'Excellence surplombe l'Abyme.
