...en Enfer l'envieux persiste dans sa féroce avidité d'abattre l'autre qu'il envie, de priver de toute sa force l'autre, de ce qui lui appartient selon le monde qu'il hait...la jalousie aiguise la hantise de l'envieux, lui pourvoit l'aliment de sa haine de mesquin, de petite personne. Elle révèle en cela, les ignobles contre-qualités qui l'ont engendré, et qui le nourrissent dans ce qu'il a d'inférieur dans ses rapports organiques avec l'intimité de l'étant physiologique, ...parmi l'existentiel synthétique des consciences somnambules qu'il méprise.
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Nous sommes à l'époque du subventionné, du criminel que l'on flatte et que l'on paternalise ! C'est la période de l'anti-homme. Du sous homme. De l'homme mammifère issu de l'Afrique. L'ère où l'on s'incline devant ce qui est moindre que nous : c'est l'âge de la dégénérescence de l'intellect originel hissée en paradigme, érigée et formulée comme modèle à émuler, et ceci au seuil des sous-sols de l'âme déchue.
Il y a eu et il y en a encore ceux qui parlent de l'homme d'au-dessus de l'homme, de l'overman et superman, de celui qui devrait provoquer la chute de l'humain, et surmonter dans l'homme, ce qui eût été humain ! En plus cet homme là aurait comme tâche de revenir vers la terre, de lui apporter secours et en même temps il devrait fuir le ciel et l'idéal de ce qui eût été spirituel !
Et voici que nous en sommes là ! Nous nous en sommes revenus enfin vers notre chère terre, notre maman, Gaia ! nous y voilà chez elle ! ...........seulement voilà, nous serons bientôt au stade des limaces, et mangerons comme pain béni, les débris et déchets de nos aïeux.
Chez d'autres encore on parle de l'homme du huitième jour fait de terre adamique et qui ne serait pas comme les anthropoïdes que Dieu aurait créé le sixième jour. Eux ils ne sont que des hommes-animaux, des hommes sans âme immortelle. Le fumier pour de prochains semis.
Mais ce n'est pas grave, au contraire ! Car en l'âge de Ragnarok comme il se doit, c'est l'homme de dessous qui vaincra et pillera ce qui reste encore d'homme dans l'humain jusqu'à ce que l'éclatement inespéré de l'inéluctable renouvellement que d'aucuns prétendent, nous transforme des pieds à la tête !
Et voici que nous en sommes là ! Nous nous en sommes revenus enfin vers notre chère terre, notre maman, Gaia ! nous y voilà chez elle ! ...........seulement voilà, nous serons bientôt au stade des limaces, et mangerons comme pain béni, les débris et déchets de nos aïeux.
Chez d'autres encore on parle de l'homme du huitième jour fait de terre adamique et qui ne serait pas comme les anthropoïdes que Dieu aurait créé le sixième jour. Eux ils ne sont que des hommes-animaux, des hommes sans âme immortelle. Le fumier pour de prochains semis.
Mais ce n'est pas grave, au contraire ! Car en l'âge de Ragnarok comme il se doit, c'est l'homme de dessous qui vaincra et pillera ce qui reste encore d'homme dans l'humain jusqu'à ce que l'éclatement inespéré de l'inéluctable renouvellement que d'aucuns prétendent, nous transforme des pieds à la tête !
Comment espérer le meilleur dans ce qui est du pire, dans ce qui est à vue de l'esprit, méprisable et abject dans l'humain, chez qui sans aucune vergogne, la jalousie envers ceux qui ont, est toujours du jour, en un monde supposé illusoire et qui en dépit de tout sincère constat, serait holographique ? ...et ces mêmes jaloux convoitent cependant, en toute cupidité, cette tridimensionnelle ombre matérielle des puissances séculaires à l'intérieur de ce prétendu hologramme universel ! ...et qui, cela va de soi, ne contient en rien, par elles-mêmes, pas la moindre essence substantifique !
L'âge du Fer est l'espace-temps idéal des moindres-que-des-humains, où seul s'esquisse un semblant de faciès d'homme, alors que rôde en leur intériorité un vacuum.
Mais quand la plèbe règne dans toute son ignominie soyons en sûr que ce sont les rats d'égoûts qui bientôt se mettront au grand jour pour l'amusement des badauds de la collective stupidité, ceux qui ont honoré de leur peine perdue la colosse désacralisante des Nations Unis.
