samedi 3 octobre 2015

El Pendejo del Viaje o la Fuerza del Cristo en Actividad !





Il me suit comme mon ombre et me hante : comme une surveillance pérenne faite d'une fabrique mesquine ! Il est écologique et sans additifs. Il se prend pour dieu ou pis comme Maître du Monde Souterrain, il abuse de la naïveté inhérente chez l'homme de l'HLM. C'est une mauvaise augure pour l'individu qui est indépendant, pourtant l'entité d'une ténuité inférieure, permet d'accentuer les dons de ruse de tout véritable et sincère rebelle ! 

Je m'achemine à force de lassitude, en dépit de mes propres idioties inavouées : c'est cela qui me rend invisible devant l'oeil ignare de l'homme de Samskara. Devant l'être failli qui imbu de son infructueuse illusoire personne, persiste dans un rêve ignominieux, de boisson d'oubli !

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Ce corps que je possède ou qui me possède pour l'instant, pend tel une bave de mon âme. Mais c'est une certitude chez moi néanmoins, que le simple et le brave et le beau et l'intègre du coeur et d'esprit vaincront non sur cette terre, non jamais, mais sur  une terre qui leur est propre, avec son ciel et sa bonté comme sphère d'existence d'une autre corporalité, une existence corporelle autre que celle connue ici bas selon un mode propre d'encrypté.  Où plus aucun autre compagnon du Seigneur ne sera le tridimensionnel  géométrique prisonnier de l'appareil con-structuré de la physico-chimie, ni des ondes d'ELF ou de Giga-Micro, engourdi dans l'espace des 6 parois de toute hologrammie !

L'Âge des 8 ème climats n'a pas de place dans la géographie de Kali Yuga, car ici, c'est toujours le Mode de Kali qui dispose et prédispose et prédétermine emprisonne endort et dévore ! Ricane qui peut sous couvert.  Elle est ici dans son royaume, à sa place comme si elle était parmi des flatteurs perpétuels qui lui font la cour ! C'est chez elle, Ô Kalimah Aum namah Kalimah ! Ô Celle qui se réjouit des cadavres en décomposition toujours heureuse des homages qu'on lui fait. Durga. Mère des mégères, reine totalitaire. Tyrannie et royaume de petit esprit. 

Ô Durga une fiction qu'il faudrait embrasser soigner et perdre !