Sans que le Démiurge te dirige, que ferais-tu ?
Saurais-tu quel train il faudrait prendre et qu'il ne faudrait surtout pas manquer ?
Sans les constructions microbiennes qu'il t'eût greffées, en aurais-tu connu l'envie de faire l'amour, fonder ou suivre hypnotiquement un parti et son idéologie (comme un bon petit robot bien programmé), espérer la paix sur terre ou compter sur ta bonne foi et parier avec tant de promptitude pour une bagatelle, l'immortalité de ton âme ?
L'homme mériterait-il le droit et ou le privilège, de penser et de façonner son unique destin, sans que les astres dans le bas ciel s'en mêlent ni que des météores dans la nuit endormie, ne viennent l'étayer de paternalisme, ou ne détruisent toutes ses espérances temporelles, en souvenir des massacres et des délits des temps passés qui nous rappellent fort heureusement les merveilleuses et formidables exploits de nos états d'âme de despotisme historique ? En a-t-il par lui-même en lui-même la capacité de pourvoir à ses usages d'égoïtique glouton...a-t-il les moyens d'auto-suffisance qui lui permettraient de subvenir à la viabilité de sa conscience et passer outre le fatal seuil qui nous attend, avec tant d'inimitable patience et sobriété........................?
L'homme est un implant, qui se greffe dans un Ordre Pré-établi au souhait du G:.rand M:.aître des Mondes, selon ses humeurs récalcitrantes et récidives ! Un implant en qui l'Architecte-Démiurge a inséré grâce à son précis doigté, tout but ou toute compréhension : Il lui donne à l'humain le langage et les maths, leurs protocoles et usages corrects, petit à petit comme une bonne mère qui donne son sein aux heures fixes sans faille.
Le Géomètre-Irrécusable, creuse dans la masse du Néant, par traits subtils. Il coordonne les internes fonctions qui manifestent sans aucun doute, le complexe-humide de sa spontaneïté interminable. Tout dans un cercle d'aire sans périmêtre, et nulle part enfin.
Et la multitude de l'humanité-mammifère n'est qu'un mécanique cellulaire de tissu traditionnel, un jouet du moment, que les dieux délaisseront d'ici l'étape préternaturelle et suivante,...et sans qu'il y ait le moindre remords ni nostalgie !
Puis le Géomètre-Démiurge recommencera à semer encore puis de greffer et enfin implantera dans l'esprit d'une construction cérébrale son plan, et ce sera le vaisseau de prédilection dans un ailleurs ....où des dieux Lui disputeront de nouveau ses beaux idéaux incarnés, ou sinon, lui chercheront encore une fois, de menacer ses projets d'avenir avec un inéluctable échec possible !
Dans l'imperceptible résidence de l'âme, un oeil veille et scrute. C'est une conscience originelle qui assiste à sa débâcle de chair personnelle, ...au meurtre renouvelé de son esprit.
Et c'est quand même, toi, qui implante la pensée. C'est toi qui reçois l'impact des motifs que tu traces dans le vide. Dans le lieu non-meublé de ton immense jardinière !
L'homme mériterait-il le droit et ou le privilège, de penser et de façonner son unique destin, sans que les astres dans le bas ciel s'en mêlent ni que des météores dans la nuit endormie, ne viennent l'étayer de paternalisme, ou ne détruisent toutes ses espérances temporelles, en souvenir des massacres et des délits des temps passés qui nous rappellent fort heureusement les merveilleuses et formidables exploits de nos états d'âme de despotisme historique ? En a-t-il par lui-même en lui-même la capacité de pourvoir à ses usages d'égoïtique glouton...a-t-il les moyens d'auto-suffisance qui lui permettraient de subvenir à la viabilité de sa conscience et passer outre le fatal seuil qui nous attend, avec tant d'inimitable patience et sobriété........................?
L'homme est un implant, qui se greffe dans un Ordre Pré-établi au souhait du G:.rand M:.aître des Mondes, selon ses humeurs récalcitrantes et récidives ! Un implant en qui l'Architecte-Démiurge a inséré grâce à son précis doigté, tout but ou toute compréhension : Il lui donne à l'humain le langage et les maths, leurs protocoles et usages corrects, petit à petit comme une bonne mère qui donne son sein aux heures fixes sans faille.
Le Géomètre-Irrécusable, creuse dans la masse du Néant, par traits subtils. Il coordonne les internes fonctions qui manifestent sans aucun doute, le complexe-humide de sa spontaneïté interminable. Tout dans un cercle d'aire sans périmêtre, et nulle part enfin.
Et la multitude de l'humanité-mammifère n'est qu'un mécanique cellulaire de tissu traditionnel, un jouet du moment, que les dieux délaisseront d'ici l'étape préternaturelle et suivante,...et sans qu'il y ait le moindre remords ni nostalgie !
Puis le Géomètre-Démiurge recommencera à semer encore puis de greffer et enfin implantera dans l'esprit d'une construction cérébrale son plan, et ce sera le vaisseau de prédilection dans un ailleurs ....où des dieux Lui disputeront de nouveau ses beaux idéaux incarnés, ou sinon, lui chercheront encore une fois, de menacer ses projets d'avenir avec un inéluctable échec possible !
Dans l'imperceptible résidence de l'âme, un oeil veille et scrute. C'est une conscience originelle qui assiste à sa débâcle de chair personnelle, ...au meurtre renouvelé de son esprit.
Et c'est quand même, toi, qui implante la pensée. C'est toi qui reçois l'impact des motifs que tu traces dans le vide. Dans le lieu non-meublé de ton immense jardinière !
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| la nuit étoilée, ou mon café crème |
