samedi 28 novembre 2015

De ce qui est Laid et de Ceux qui Difformes le Cultivent



Abandonné de ce qui est divin dans sa nature intrinsèque l'homme fourbe, malhonnête et de règle, avec une estime de lui-même construite sur un socle de mauvaise foi persiste dans la voie de sa perte suressentielle et de ce fait, se laisse séduire par une certaine qualité pernicieuse due à la disposition corporelle qu'il fait naître de son propre chef, au Monde. La couronne frontale de l'homme imbécile, démunie de l'éclairage céleste ne lui octroie que la déchéance génétique, ou la dissonance cognitive, et avec le temps il s'abreuve du fiel et de la fiente des moeurs contemporaines et pour l'entretenir l'homme difforme se noie dans l'alcool la drogue et l'obsession de sa profonde futilité métaphysique qui l'écrase du regard.  Cette semblance d'un homme ne mérite pas l'appellation d' humain ni d'homme.

La haine de lui-même lui fait vivre d'après sa déformité morale, ou aspect extérieur, dans la haine et le mépris de l'autre. Il se dit être une merde, le dit des autres et donc porte une atteinte du principe à l'Image que la Divinité aux origines eut tant de soin à façonner. Il subsiste au quotidien, psychologiquement dans la verbale expression de la moquerie, et par subséquent le détritus purulent de ce qui lui reste de "conscience", convoite et hait la beauté qu'il ne peut en aucune sorte incarner ni au plan astral ni physiquement. Ni par conséquent spirituellement. Du coup ce qui est laid devient la règle du comportement de l'individu aux tares psychiques et esthétiques et sa vie par un reflet pervers et amoureux d'elle-même va faire l'éloge par devers sa retorse exemplarité cynique mise en exergue, de ce qui est déchu et de cette laideur qui a fortiori l'assistera dans la poursuite de ses appétits qui rendent esclave ou parasite! Ou pire, déforme.




Quelle abomination intellectuelle et morale. Que c'est ridicule que de haïr le beau. Cela démontre la nature frustre de la personne qui porte tellement de rancune envers ce qui lui est supérieur par sa nature altière! 

Mais comme on le dit et le redit si souvent, nous sommes en Kali Yuga.  Cela n'explique rien bien sûr, et ne justifie rien! Mais cependant le temps des hommes révèle l'inadéquat espace et l'hygiène réelle des lieux actuels où l'humain décadent prolifère si vain parfois. Il insiste pour être au rang de l'ange dans sa compréhension des choses alors qu'il exude la putréfaction, et maintenant il défèque tel un chien dans un parc. 

Pourtant son corps malgré sa grossièreté, abrite une gemme d'un éclat rare. 

Mais pour qu'il en prenne conscience, il devrait délaisser l'abus moral de lui-même et piétiner les enfers des tendances qui sclérosent la viatique céleste. Vaincre la mauvaise foi inhérente à l'amour de sa laideur embellie, et surtout arrêter de jubiler dans les vapeurs aériennes de sa méchanceté irrépressible. Qu'il ne sait toujours pas, contraindre!