jeudi 19 novembre 2015

La Preuve que Cela ne m'est pas Egal : de la Rhétorique dans tous Genres





Trans-endémique. Pan-déblâterer! Incubes de l'esseulé assisté subventionné et acheté par l'état d'une victime du totalitaire. Larve sans paroles ni viril regard : homme amorphe, golem et totem produit du trivium de l'éducation universelle! 

N'importe quoi n'importe quand, ...n'importe comment! Une crapule se reconnaît tel de ses frères! Pleut-il? Sommes-nous à l'abri? Le mirage ecto-plasmique engendré par nos rituels séculaires est à couvert. Debout et à l'ordre mes bien chers et tristes vaniteux golems. Qui et par quoi est compromis, l'Orient. Où est-il alors, notre Zénith des manes déchues? Qui est celui maintenant qui habite notre astralité, que sais-je quoi donc qui voit dans nos yeux. L'on nous a donc éclipsé le regard. Éloigné de nous-même le nôtre du regard. 

Qui soupçonne la présence de celui qui veille en nous. Qui veille donc là où tu vois? C'est désormais le nano carbone qui vous gagne, le dessus! L'esprit ne s'est même pas débattu. Même pas du combat. Aucune rage du Juste! 

Pas la moindre colère.

...que l'Amour c'est l'Amour : que d'Amour!

Le travesti de la rhétorique, son modèle, le mode de procéder à une élucidation de thèse tactiquement placée entre deux tambours; de convaincre autrui de ce dont on n'est même pas si sûr, sinon quant à la manière dans la parade des protocoles reconnus en tant que tel idéal fallacieux par personne. Une allocution travestie dont on distille à feu doux le fiel à travers et par des discours d'inanité!  De la ferveur, limpide comme du venin.

Le rhéteur flatte l'opulence du vide qui ressert encore et encore une fois de plus la coupe avide de paresse, et complémente l'infatuée audience pleine d'incrédulité naïve. Il y a combien d'orgueil qu'on évacue par le bas étage! Pour combien de temps encore, vénérera-t-on l'insincère mauvaise foi dans tous genres et de tous genres. On paye son tribut à la déité que l'on honore de souffle et de hargne. N'est-ce pas vous mes amis malhonnêtes, ceux qui sont les coupables de l'Être transi par la peur, des êtres et de ceux qui ne sont pas encore là? Coupables? Coupables? 

De ce qui arrive de la part...de ceux qui sans fierté, sans esprit, pas du tout indignés de notre ignoble passive immobilité? 

La rhétorique est une garce mercenaire, une meuf qui défend le couard, le lâche, le fourbe. 

Sa colère y trouve toujours le vraisemblable, la semblance de la ressemblance, l'à peu près qui vise juste le recoin replié où le vantard envieux patiente, toujours à ne quêter que du gain et l'applaudissement de sa mise en scène pleine de verbosité, qui portera le coup fatal pour ainsi dire, ensuite nous donner droit à la belle-laideur de la pseudo-démocratie et un laissé-passé aux grandes surfaces de nos chers capitalistes-libertins! 

Certes seul un individu jaloux pourrait succomber au charme du rhéteur infâme. 

Ce sont des esclaves qui admirent l'esclave.  



Salut à toi ô fils des Meilleurs Hommes,  aristo élu du Ciel.
Hélas le peuple qui était borgne ne t'a pas mérité.
Et en Dieu,  tu a été reçu!