mercredi 26 août 2015

Camino Mio y Palabras y Tonterias


Mes chemins m'amènent à l'aboutissement de moi-même.





Que cela se produise sur les voies de Google, Firefox, Internet Exploreur, des ponts et chaussées, les autoroutes, les départementales les communales, les quais de gare les rails de train, les sentiers balisés des montagnes, sur des chemins de sangliers et de renards, ou que j'ai moi-même forgés dans les forêts où personne n'a encore avec insolence donné de nom.

Qui déterminera ma voie. Qui ose encore me faire des reproches d'avoir prise ma route de Gnose personnelle. Qui dans l'absolu est sans défaut au seuil de Tartare. Qui ici dans le Hadès m'apportera à boire ?  Où sel et fiel gagnent en envergure. 

Y a-t-il des "gens" qui cherchent avec mortelle impunité, me régler les comptes. Eux qui bafouillaient dans les loges où sur les daïs de vanité plébéienne sur les estrades de l'Orient ou au Zénith ? Dans un lieu qu'ils ont la prétention d'appeler, non profane !

Où nos mystérieuses ondes psychoéléctromagnétiques saturent les incombants de jus astral et de récits de racontars et de baise-fesses. Et des hommes et des femmes mûrs se le font avalé avec des rituelles dites "régulières et traditionnelles" dans l'obscurité avec des cierges et du parfum d'encens de chez le FNAC. Ils imitent et plagièrent carrément les dires de ceux qui les ont précédés, cependant que leurs aïeux avec le temps, dans leur progéniture initiatique, dégénerent. Leurs tabliers sont faits en Chine.

Ne voit-on pas la supercherie ? 

Le chemin, je le prend du travers. Je me le signale et mon Dieu me l'accorde : Le Salut n'est certainement pas dans ce que nous avons fabriqué ni non plus dans ce que nous instaurons aujourd'hui ! 

Pourquoi honorer les hallucinations organiques ou concrètes qui de notre imaginaire proviennent, alors que pauvre sot que t'es, ton Dieu te ronge ardemment où Il t'acclame dedans?