Depuis le moment de ta naissance dans cette séculaire enclave, que tu amènes et démènes dans toutes les activités mondaines, le corps qui t'assiste ne t'appartient en aucun cas! Quelle folie que de croire que la motricité structurée de la psycho-somaticité ait été à toi, un seul instant dans l'éternité, le tien en propre.
Nous naissons dans un monde "de ce siècle" saturé du Temps, prisonnier d'une substance lourde, tout autant qu'intangible. Qui dans sa densité est une projection ondulatoire, non de nous même, mais produit par un certain collectif "UN", qui dirige le grand tout. Il décide, tout au moins, la mécanique enveloppante et matérielle du Monde dans les moindres nuances. Ses algorithmes organiques, minéraux ou abstraits, tout comme leur façon interne de prévenir en dépit de Godel, exactement et en tous points le demain substantiel de tout ce qui vivra dans des enveloppes préméditées est le royaume des pensées les plus totalitaires et despotiques.
Mais a-t-il tort de l'être ce "UN" ? De se comporter de la sorte?
Après tout, le Tout, de tout ce qui est connaissable à quelque plan que ce soit de ce monde ou des mondes comme dans le concept de 'la Plaine de la Vérité' avec ses 183 Mondes ou Univers : physique quantique, théorie des cordes trous blancs et noirs, lui appartiendraient n'est-ce pas ? Il en est le Créateur et l'Architecte. Le Géomètre ! Ce "UN".
Si tu n'es que chair et os et fonction algorithmique, c'est celui qui a débuté ce processus précis et intégral de l'ordre général des "choses" qui pourvoit le comment et le pourquoi. Le comment et le pourquoi de tes illusions ou du langage que tu emploies, tes pensées qui au fond en dépendent !
Et si c'est le cas donc, as-tu vraiment lieu de te plaindre ?
183.
Sauf si tu es autre, autre que ce qui est prévu, autre que la santé ou disposition charnelle d'une configuration purement, psycho-somatique dirigée par des astres ! Autre chose que ta peau. Autre que la carcasse que tu traînee. Autre que les pensées que tu prétendes être tiennes.
Entre Gog et Magog !
Un jour inconnu viendra, confondre en un chaos inconnaissable, le ciel qui est au-dessus de nos têtes avec la terre, qui était sous nos pieds.
L'illusion de "Gaia" disparaîtra, de même que la vanité de notre électronique univers ! ...et tadam ! tous les petits magiciens de dimanche s'engouffreront en un beau néant de Vacuité !
Le Vide régnera sur les Colonnes, et le Silence achèvera le Rite Séculaire. Il n y aura aucun outil ni non plus des bijoux ! Le cercle ou sphère des spéculations vaines sera inexistant.
Les ombres d'Isis et d'Osiris, de Néphtis et de Seth seraient évanouies.
Plus de tabliers pour les apprentis sorciers. Plus d'apprentis ! Ni de compagnons. Et le Maître sera MORT.
Puis Hiram recommencera. D'abord avec un cercle puis un triangle ensuite le carré. Tout dans un même cercle préalablement dessiné avec encore le A de l'Anarchie pour déterminer les rapports et calculer les coïncidentelles synchronicités de toutes les figures euclidiennes ou non qui seraient inscrites !
On écrira des Agamas et des Sutras. Des Livres Saints. Il y aura de l'Eau Bénite. On saura de nouveau se le raconter.
Ô homme, tu es prisonnier de tes propres machinations.
Tu te fascines toi-même devant la glace que tu conçois.
Le démiurge c'est toi pauvre con.
On n'est pas tous, Un !
Mais mes yeux sont pour moi.
Nous naissons dans un monde "de ce siècle" saturé du Temps, prisonnier d'une substance lourde, tout autant qu'intangible. Qui dans sa densité est une projection ondulatoire, non de nous même, mais produit par un certain collectif "UN", qui dirige le grand tout. Il décide, tout au moins, la mécanique enveloppante et matérielle du Monde dans les moindres nuances. Ses algorithmes organiques, minéraux ou abstraits, tout comme leur façon interne de prévenir en dépit de Godel, exactement et en tous points le demain substantiel de tout ce qui vivra dans des enveloppes préméditées est le royaume des pensées les plus totalitaires et despotiques.
Mais a-t-il tort de l'être ce "UN" ? De se comporter de la sorte?
Après tout, le Tout, de tout ce qui est connaissable à quelque plan que ce soit de ce monde ou des mondes comme dans le concept de 'la Plaine de la Vérité' avec ses 183 Mondes ou Univers : physique quantique, théorie des cordes trous blancs et noirs, lui appartiendraient n'est-ce pas ? Il en est le Créateur et l'Architecte. Le Géomètre ! Ce "UN".
Si tu n'es que chair et os et fonction algorithmique, c'est celui qui a débuté ce processus précis et intégral de l'ordre général des "choses" qui pourvoit le comment et le pourquoi. Le comment et le pourquoi de tes illusions ou du langage que tu emploies, tes pensées qui au fond en dépendent !
Et si c'est le cas donc, as-tu vraiment lieu de te plaindre ?
183.
Sauf si tu es autre, autre que ce qui est prévu, autre que la santé ou disposition charnelle d'une configuration purement, psycho-somatique dirigée par des astres ! Autre chose que ta peau. Autre que la carcasse que tu traînee. Autre que les pensées que tu prétendes être tiennes.
Entre Gog et Magog !
Un jour inconnu viendra, confondre en un chaos inconnaissable, le ciel qui est au-dessus de nos têtes avec la terre, qui était sous nos pieds.
L'illusion de "Gaia" disparaîtra, de même que la vanité de notre électronique univers ! ...et tadam ! tous les petits magiciens de dimanche s'engouffreront en un beau néant de Vacuité !
Le Vide régnera sur les Colonnes, et le Silence achèvera le Rite Séculaire. Il n y aura aucun outil ni non plus des bijoux ! Le cercle ou sphère des spéculations vaines sera inexistant.
Les ombres d'Isis et d'Osiris, de Néphtis et de Seth seraient évanouies.
Plus de tabliers pour les apprentis sorciers. Plus d'apprentis ! Ni de compagnons. Et le Maître sera MORT.
Puis Hiram recommencera. D'abord avec un cercle puis un triangle ensuite le carré. Tout dans un même cercle préalablement dessiné avec encore le A de l'Anarchie pour déterminer les rapports et calculer les coïncidentelles synchronicités de toutes les figures euclidiennes ou non qui seraient inscrites !
On écrira des Agamas et des Sutras. Des Livres Saints. Il y aura de l'Eau Bénite. On saura de nouveau se le raconter.
Ô homme, tu es prisonnier de tes propres machinations.
Tu te fascines toi-même devant la glace que tu conçois.
Le démiurge c'est toi pauvre con.
On n'est pas tous, Un !
Mais mes yeux sont pour moi.
